LA TABLE EN SAPIN 3
Datte: 14/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... pisse ricocha sur l’émail et finit sa course dans l’eau du bouillonnant. J’avais l’impression qu’elle tenait un tuyau d’arrosage. La situation commençait à m’échauffer. Quand le jet d’urine se tarait, l’eau de la cuvette était teintée de jaune. Tenant toujours ma queue en main, elle semblait embarrassée. Je lui murmurais. - Alors ! Qu’attends-tu. Il faut l’égoutter maintenant, jeune fille. Patricia s’exécuta. Secoua vivement ma hampe. Envoyant quelques gouttes par-ci, par-là. Elle comprima ma bite entre ses doigts et fit glisser la peau de haut en bas. Mon gland apparaissait et disparaissait. Patricia observa avec un plaisir vicieux, que sa friction me faisait de l’effet. Ma queue commençait à forcir. Encourageait, Elle entama un mouvement de va-et-vient qui en augmenta rapidement là dureté. Elle me branlait à présent. Je me mis à gémir comme pour l’encourager à continuer son massage. Elle admirait son œuvre. Ma verge battait la mesure de mon désir. Sans me lâcher, elle s’agenouilla. - Je peux toucher. Me lança-t-elle d’une voix toute timide. Comment rester insensible à une si fervente demande ? - Bien sûr, tu peux. Seulement si tu ne dis rien à ta sœur. Lorsqu’elle se pencha, je sus que c’était avec sa langue qu’elle voulait toucher ma queue. Je fermais les yeux et poussais un grognement de satisfaction, elle venait de me prendre en bouche. Ses lèvres douces et tièdes s’étaient refermées. M’emprisonnant dans un merveilleux anneau de chair. Animé d’une vie propre, qui ...
... pétrissait mon sexe. Lorsque j’ouvris les yeux, je fus émerveillé de voir son lent mouvement de sa bouche. Cette vision acheva de m’affoler. Le plaisir me gagnait. Trop vite, même. J’aurais voulu que cela dure. Attendre encore, en profiter. Mais la diabolique fille, s’activait à m’offrir une grande jouissance. Je sentais le déferlement tout proche du plaisir, bouillonnait en moi. Elle dut le sentir, puisqu’elle se redressa, contente d’elle en souriant. - Mais continu… la suppliais-je. Je voulus prendre sa tête entre mes mains, mais elle m’échappa. Fuyant la pièce en courant. Quand je la revue, ce fut dans la cuisine, buvant son thé. Puis, elle reprit sa place entre mes jambes pour s’intéresser de nouveau à ma queue. Qu’elle fit disparaître graduellement dans sa bouche serrée. Avant ne l’englouti vivement pas entre sa langue et son palais. L’intense chaleur du thé me tira un cri rauque. Pendant quelques secondes, je restais tétanisé, haletant. Jusqu’à entendre de nouveau la sonnerie du téléphone. Même si l’envie de ne pas répondre me submergea un court instant. Sachant très bien qui de trouver de l’autre côté. Ma bienveillance me conseilla d’attraper le combiné. Ceux que je fis en tendant mon bras. - Alors qu’est-ce que tu fou… - Je sors de la douche. J’allais m’habiller. - Tu m’avais promis d’être là avant que je rentre du boulot ? - Oui… c’est-ce que j’avais dis. Mais j’ai voulu finir l‘ouverture aujourd‘hui… - Tu en as pour encore longtemps ? - Le temps de m’habiller. - Tu bandes ...