Sergio
Datte: 15/03/2018,
Catégories:
f,
fh,
inconnu,
hotel,
cérébral,
Masturbation
Oral
pénétratio,
... j’en profitai pour admirer la chemise légèrement entrouverte de Sergio. Une très légère toison poivre et sel recouvrait sa peau mate et, une fois de plus, je sentis une vague de frissons me grimper le long du corps. J’ignorai si l’abstinence qui m’était imposée depuis ma rupture était la cause de tous ces troubles mais alors que je me tenais debout derrière mon bureau d’accueil, admirant cet homme très certainement marié, je pouvais sentir les prémices d’une érection entre mes cuisses que je maintenais rudement fermées. J’eus énormément de mal à camoufler mes émotions lorsque sa main effleura la mienne au moment de lui rendre sa carte bleue, ce simple contact ayant suffit à faire gonfler mon clitoris qui semblait lui aussi vouloir jouir de cette immense main d’homme mûr. Elle devait avoir déjà bien vécu et en l’espace d’une seconde, je songeais à tous les sexes qu’elle avait effleurés, caressés… Ses doigts étaient longs et assez larges, en accord parfait avec la taille de sa paume et je ne pus, une fois de plus, m’empêcher de les imaginer me prodiguer de divines caresses. Je me savais étroite et n’envisageais pas plus de deux de ces doigts-là en moi, peut-être trois si toutefois je mouillais abondamment. Comme en ce moment même. Lorsque Sergio eut réglé sa réservation et récupéré la clé de sa chambre, il me souhaita une agréable nuit, me remercia et me décocha un magnifique sourire avant de se diriger vers les ascenseurs. Mon esprit divaguait encore et je me vis le suivre ...
... jusqu’aux fameux appareils, priant pour qu’il soulage ma frustration et me baise sans ménagement contre l’une des parois. Le feu me montait aux joues, l’excitation devenait insupportable. Je me tenais là, à mon poste, prête à passer des heures à attendre les quelques malheureux clients susceptibles de se présenter après minuit et si excitée que je pouvais sentir ma mouille s’écouler lentement entre mes fesses. La sensation était désagréable, mais ce n’était rien à côté de la frustration que j’éprouvais alors. Il était minuit moins dix, je devais attendre huit heures pour rentrer chez moi. La nuit serait longue. (…) Lorsque je rentrai chez moi, le jour se levait à peine. En chemin, je ne croisai que quelques fêtards encore partiellement éméchés ou des hommes d’affaires sur le chemin du bureau mais ne leur accordai aucune importance, trop impatiente de retrouver mon lit. La nuit m’avait paru interminable, c’est pourquoi je m’écroulai immédiatement sur mes draps encore défaits de la veille, épuisée. Je portai encore mon chemisier et ma jupe – longue jusqu’aux genoux – et m’affairai à retirer mes escarpins tout en restant allongée. Le son de mes talons sur le sol résonna dans la pièce vide et silencieuse et je fermai les yeux, incapable de les maintenir ouverts plus longtemps. À peine furent-ils fermés, le visage de Sergio vint me hanter. Son sourire, ses yeux légèrement en amande, son cou, le début de son torse, sa petite toison, sa main… Immédiatement, l’état dans lequel il ...