Décalage horaire
Datte: 15/03/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
profélève,
grossexe,
jardin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
fantastiqu,
... en est, il déclenche automatiquement la dernière réaction souhaitée. Et dans son cas à elle, elle pleurait… Tout ce petit monde semble terriblement intéressé par la manœuvre de désarrimage. C’est vrai, voir un ruisseau de foutre couler d’entre les cuisses d’une Poupée pleurant toutes les larmes de son corps, c’est un plaisir divin…« Bande de nazes ! » Quelques insultes et quelques gifles plus tard, une camionnette de maçon nous ramène. Naturellement, bien qu’il reste de la place à l’avant et malgré la pluie qui commence à tomber, Maud a dû se contenter de voyager dans la benne. Le conducteur ne tarit pas d’éloges. — Comment vous l’avez trop bien baisée, cette pétasse ! Il y a longtemps que je n’avais pas vu ça ! Surtout, la prochaine fois que vous la tronchez, n’hésitez pas, téléphonez ! On viendra entre copains… « C’est ça, mon petit père, j’en parlerai à mon cheval. » Mais pour le moment, quelque chose d’autre m’intrigue : un petit rectangle de carton dans la poche de ma veste. Je suis formel : il ne peut provenir que de chez Wilheim. --oooOooo-- Hier soir, après une bonne douche, j’ai couché Maud. Je sais, ce n’est pas précisément le comportement attendu d’un maître envers sa Poupée… Ensuite, je suis sorti, à la fois pour me calmer et pour réfléchir. En passant devant une animalerie, j’y ai vu des cages, et cela m’a donné une idée. Je vais m’en faire livrer une, avec tout le matériel qui va bien, et j’y enfermerai Maud. Non, bien sûr, je n’en ferai rien. Maud va ...
... tranquillement rester au chaud mais, à moi, ce matos de malade me servira d’excuse. Cela va me permettre de me rendre, à la fin des cours, à l’adresse indiquée sur le carton de Wilheim… Et sans avoir besoin de baffer ma Poupée préférée à tout bout de champ. L’adresse indiquée sur le carton est située dans les vieux quartiers. Va savoir pourquoi, c’est sans doute la seule partie de toute la ville a ne pas avoir été complètement détruite pendant le conflit, mais leur sauvegarde semble n’intéresser personne. Je me gare devant une ancienne maison dans le plus pur style colonial qui fut sans doute superbe avant d’être totalement laissée à l’abandon. Un type joue distraitement de la guitare sur les restes du palier. — Léo Casper, c’est ici ? Le gars me fusille du regard. — Et t’es qui, toi ? Je doute fort que mon nom ne lui dise quelque chose. Je lui tends la carte de visite « oubliée » dans ma veste. — C’est le Docteur Wilheim qui m’a indiqué que je pourrais le trouver ici.— Attends deux minutes, dans ce cas. Je vais te le chercher. L’homme qui se ramène est un grand baraqué aux bras et à la carrure impressionnants. Je le reconnais instantanément : c’est le responsable du centre d’information de l’université. — Vous, ici ? Que faites-vous là ?— Disons que, pour l’avoir vécu, je trouve que les informations concernant la guerre sont pour le moins incomplètes. Wilheim semble dire que vous possédez d’autres informations.— Absolument, répond-t-il. Mais tu as prévu un moyen de paiement ? Du ...