Décalage horaire
Datte: 15/03/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
profélève,
grossexe,
jardin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
fantastiqu,
... pognon ? J’avoue que je n’avais absolument pas prévu cette éventualité. — C’est à dire que…— Et elle est où, ta Poupée ? D’urgence, il me faut un bobard. — Ma Poupée ? Elle est dans une cage, à la maison. Ça lui apprendra à me sucer le matin avec deux minutes de retard. Il sourit et me répond avec un clin d’œil. — T’as raison, c’est toutes des salopes. Bon, ben tu me la ramènes, et je vois ce que je peux faire. Je tombe des nues. — Mais tu n’en as pas une toi-même, de Poupée ? La jolie rousse, ce n’était pas la tienne ?— Si, mais je l’ai prêtée à mon père. C’est con à dire, mais elle est élève infirmière, et il a plus besoin de sa science que moi de sa chatte. À en juger par son œil égrillard, j’ai bien l’impression que l’un n’empêche pas l’autre… Mais ce n’est pas mon affaire. Il continue. — Faut s’arranger comme on peut. Après avoir échangé quelques banalités, je tourne les talons. Poupée ou pas Poupée, je ne me vois pas prêter Maud à un type comme cela. Je ne me vois d’ailleurs pas la prêter tout court. --oooOooo-- Je rentre chez moi. Logiquement, Maud devrait toujours s’y trouver ; je doute fort qu’elle se risque seule dehors avec son statut de Poupée. Quant à la cage commandée tout à l’heure, elle n’a pas été livrée… J’ouvre la porte ; la surprise est totale. Si, la cage est bien là ; elle est même en plein milieu du salon. L’ennui, c’est que Maud est enfermée dedans, nue comme il se doit. Je ne sais depuis combien de temps elle s’y trouve, mais dans cet espace qui ...
... doit faire au maximum un mètre carré, elle doit forcément s’y sentir à l’étroit. — Mais qu’est-ce que tu fous là-dedans ? Ce ne sont quand même pas les livreurs qui t’y ont collée ?— Non, répond-t-elle à voix basse. C’est moi.— Toi ? Mais qu’est-ce qui te prend ?— Ce n’est pas bien, ce que tu fais. Tu ne dois pas te comporter comme ça avec moi… « Allons bon ! La voilà qui débloque, maintenant. » — C’est cela, oui… Bon, je te sors et on en discute. Mon ton est sans équivoque. Normalement, vu que je suis censé être son seigneur et maître, elle ne devrait pas broncher… Mais, tout au contraire, aussitôt la porte ouverte, elle entre dans une fureur sourde et se jette violemment sur moi. — Merde ! Tu vas comprendre, à la fin, que je dois en baver pour ce que mes compagnes ont fait endurer à ton sexe ! Tu dois me baiser, me frapper, m’humilier ! Tu dois me considérer comme la pute que je suis ! Puis, après quelques millisecondes de silence où elle tente de reprendre son souffle : — Si tu n’es pas capable de me traiter comme je dois l’être, j’irai voir les flics ! Décidément, c’est le monde à l’envers… Cependant, comme pour m’empêcher de réfléchir, la voilà qui se met à tenter de me griffer, telle une harpie déchaînée. C’est bon, j’ai compris… Il arrive que, dans certaines situations et pour raisons inconnues, les nerfs craquent et l’ancien combattant que je suis sait que cela peut avoir des conséquences dramatiques. Et dans ces cas-là, faute de matériel, une seule thérapeutique : la ...