Un inconnue découvre un paria dans sa famille (6)
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... belle enfant que voilà, n’est-il pas ? Elle jouit, hurle son plaisir, à croire que jouir d’un homme lui manque depuis sa naissance. Dommage que Gisèle ou Sidonie ne soient pas avec moi. je me retire, soulève sa tête, plonge ma queue dans sa bouche, une fois, deux fois, je jouis, elle tousse, avale, tousse encore. « Ça te plait, on continue ? » « Oui, j’en veux encore, je veux crever de plaisir. » Je ne vais pas lui donner tort. Sur mes pinces, j’accroche des poids, dix grammes pour commencer. La voyant sourire, je la gifle, une larme coule, c’est bien. Dans son cul, largement lubrifié, je plonge mon joujou. Elle hurle, elle me clame qu’elle refuse la sodomie. Trop tard, il est dedans et vibre déjà, pas de choc électrique, pas encore, c’est bien trop tôt. On monte en puissance avec ce genre de pécheresse. Je le gonfle un peu, préparant ma sodomie, miam ! Son dos, une bougie, la cire coule déjà, dessinant un crucifix. Elle crie un peu, pas assez, mais cela ne serait tarder. Deux heures déjà que je l’entreprends. Deux heures qu’elle me subit et c’est que le début. Je retire la cire à coup de martinet. C’est beau de voir ces bouts de cire valser partout. Elle crie enfin, sa figure se déforme sous le joug du martinet. Mon joujou l’amène vers la route du plaisir. Je le vois à son corps qui se démène, ondule. « Alors, comment ton cul de pécheresse, sale gamine ! » « C’est bon mon père, trop bon » Je le retire, elle ne mérite pas encore de jouir. Manquement auprès de sa famille, ...
... c’est la cravache qui cingle ses jambes de ses mollets à ses fesses et je recommence, chaque fois en frappant plus fort. Je ne vise pas encore son sillon intime, mais cela ne serait tarder. Quand je frappe son minou, elle miaule de douleur et je la comprends, j’ai frappé fort. Je continue, mollets, cuisses, fesses, cuisses, mollets. Midi arrive, il est temps que je lui donne à boire. Détachée des palmiers, je la lie, coudes contre genoux, le tout bien serré. Je lui donne une gamelle d’eau. Je me fais griller une belle tranche. Je la fais saliver, pas pour elle, pas bon pour ce qu’elle a, pécher. Je la regarde boire, je caresse sa croupe, son dos. Parfois sa nuque. Encore l’après-midi pour profiter de cette femme fautive à mes yeux inquisiteur. Il me semble reprendre vie. Oui ça me manquait ces femmes payantes pour venir souffrir entre mes mains. Pause terminée. Je desserre cette corde sur ses articulations, juste assez pour qu’elle puisse se déplacer. Ma cravache la guide, un coup à gauche pour prendre cette direction etc. La voilà bien docile. Elle peine, pas grave, je frappe. Elle refuse, je frappe encore. Ses seins sont douloureux à chacun de ses mouvements. J’ajoute encore dix grammes par seins. Elle hurle, c’est bien, ça me plait. Voilà près de cent mètre qu’elle tourne en rond. Seconde récompense, son cul, il le mérite bien. Pas la peine de le dilater, c’est déjà fait. Juste un peu de lubrifiant et je m’enfonce lentement, sans écouter ses jérémiades. Je vais et viens, ne ...