1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (6)


    Datte: 13/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... visant que mon plaisir dans un premier temps. Pour l’achever, il reste encore mon joujou, mon gode maison. Putain que c’est bon un cul, le sien en particulier, c’est la première fois, c’est encore plus meilleur disait un môme que j’ai bien connu, moi. Je vais et viens, agaçant ses seins, elle crie sa douleur, souffle son plaisir naissant. C’est une question de dosage, il faut être précis comme ne pâtisserie. Soudain ça vient, je sens cet orgasme qui vous met à plat pour un moment. Je vais et viens, plus vite, plus vite encore plus vite. Je ralentis, il est là. Je me retire, me pose devant son visage pour m’achever à la main. Elle ouvre largement sa bouche, tire sa jolie langue rose. Je jouis sur son visage. Sale gamine, tu aimes donc ça, c’est encore mieux. J’enfonce ma queue dans cette bouche, aucun répit, le jeu continue. « Nettoie ma bite ma petite fifille et papa te donnera du plaisir » La bouche pleine, elle n’a que sa tête pour me répondre et elle fait oui. Mon joujou en main, je le passe sur ses seins alourdis de vingt grammes chacun. Elle va jouir, oui, jouir sans qu’elle ne puisse se toucher. Je jouis dans sa bouche, elle jouit en me fixant. Méchante fifille, et sans la permission de papa. Je la fesse copieusement, enfonçant mon joujou dans son croupion. Elle glousse déjà. J’ai le bon dosage, ça va être de la folie, je vais l’épuiser entièrement. Un premier électrochoc, elle hurle, ça s’est fait. Un autre, un poil plus puissant, cela ne fait pas mal, non, la dose ...
    ... est faible, mais suffisante pour provoquer des picotements dans tout le corps. J’augmente encore, mets en fonction le mode vibration, le gonfle un peu, juste pour tenir ce cul bien ouvert. Elle hurle encore, la décharge est plus violente. Dire que je ne suis qu’à quinze pour cent de sa puissance. Je sais, à donf, il n’y a que mon frère qui connait les effets. Je ne vais pas au-delà de vingt pour cent et pour deux raison, la première, c’est une débutante, la seconde, ça vide mes accus très vite. Ma belle et méchante fifille se remet de ce choc électrique. Je la regarde, lui souris, elle me fixe, me sourit, on s’embrasse. Sa bouche est gourmande, c’est qu’elle en veut encore. De ma cravache, je tapote son anus, mon joujou s’enfonce, revient à sa place à la manière d’une bite qui l’encule. Je frappe son sexe de petits coups rapide et sans trop de force. Si je ralentis pour frapper plus fort. J’aime l’entendre pousser ses petits cris de douleur. « Si tu te montres bien docile, je t’invite pour souper chez moi. Tu verras ce que c’est qu’une esclave à mon service, sale gamine. » Je frappe, son sexe commence à rougir, enfler un peu. Un grand coup sec, elle hurle longuement, telle une sirène de la protection civile en Suisse. Je la délivre entièrement. La laisse se reposer, assise sur son cul, jambes légèrement pliées, écartées, appuyée sur ses coudes. Je promène les lanières de mon martinet sur son ventre, ses seins. Je tire sur les pinces, elle grimace. Je vais jusqu’au bout, quand ...
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