Le chemin vers elle
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... la table maman buvait un thé. Elle m'a regardé venir d'un air morne, sans chercher à sourire. Nous sommes resté face à face un moment et comme je ne la sentais pas disposée à parler, j'ai annoncé que j'allais me coucher.Je me suis endormi vite et je ne l'ai entendu remonter. Le lendemain matin, au moment du réveil, je suis passé devant sa chambre et j'ai vu qu'elle était couchée et qu'elle dormait à poings fermés.Ainsi passaient nos jours, mornes avec un brin d'angoisse pour ma part, de voir ma mère aussi peu réactive. Je ne comprenais pas que les médicaments étaient responsables de cet état d'apathie générale. Je l'observais quand elle était éveillée, étonné de son peu d'entrain, se traînant pour nous faire un maigre repas rapide et insipide.Et puis elle remontait se coucher et comme chaque soir je la voyais en travers de son lit souvent dans sa robe de chambre plus ou poins close, et chaque fois les picotements me reprenaient dans le ventre.Un soir que je la regardais ainsi, je sentis mon sexe se dresser encore, je ne sais pas quelle main me poussa dans le dos et me précipita au pied du lit où gisait ma mère. De près, la vue de sa cuisse nue était encore plus excitante pour moi et je restais là en contemplation devant la chair claire, la bite dressée dans mon pantalon.Je toussais dans l'espoir de la réveiller, mais elle ne bougea pas. Je toussais plus fort, rien. Je l'appelais « Maman! » Elle ne réagit pas, me laissant là, perplexe aux pieds du lit.Je fis trois pas vers ...
... la tête et je me penchais pour apercevoir son visage, je ne vis qu'une expression abrutie de sommeil. Timidement j'avançais la main jusqu'à lui toucher l'épaule et la secouer doucement. Je n'eus que des gémissements et des soupirs pour toute réponse. Elle bougea légèrement et reprit le cours de son sommeil chimique.Je restais encore, ne sachant trop quoi faire, mon regard traînant sur ce corps alangui. Sa cuisse toujours aussi nue, ma bite toujours aussi raide et un trouble s'insinuant peu à peu en moi.Je me penchais à nouveau et la bouche sèche, j'avançais ma main vers sa cuisse tout en guettant son expression. Ma peau entra en contact avec la sienne. Je tressaillis et je reculais aussitôt, affolé par mon audace. Mais rien ne sembla bouger et elle demeura aussi immobile qu'une bûche. Je recommençais, avançant à nouveau ma main vers la cuisse, nouveau frisson mais cette fois je prolongeais le contact tout en guettant une éventuelle réaction. Rien ne vint, j'entendais le rythme haché de ma respiration qui se mêlait au souffle régulier et lent de ma mère. Ma bouche était d'une sécheresse d'étoupe et ma langue pesait des tonnes.Imperceptiblement, ma main se mit à se mouvoir, je caressais la cuisse fraîche sous ma main brûlante, toujours aux aguets, prêt à fuir à la moindre alerte. Mais rien, aucune réaction.Ma main sentait mieux la douceur de satin de la cuisse de maman et je m'enhardis à remonter le long de la jambe, presque jusqu'à sa fesse, la où la chair devient tendre et ...