Le chemin vers elle
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... peur panique, je me lève du lit et je cours à la salle de bains. Je fais couler la douche, je me glisse dessous, inquiet, regardant ma bite et l'eau qui dégouline dessus emportant le sang.Quand tout le sang est parti, je sors de la douche et je m'examine mieux. Mon sexe est normal, il n'y a pas trace de coupure ou autre. Je suis perplexe, je réfléchis, si ce n'est pas moi, alors c'est maman qui....Je reviens dans sa chambre, je me penche sur elle, j'écarte ses fesses avec précaution et là je vois son pubis barbouillé de sang. Je comprends soudain qu'elle a ses règles et une sorte de dégoût rétrospectif me prend. J'ai été mettre mon sexe au milieu de ses menstrues.J'en suis tout effaré, je retourne à la salle de bains et je me frictionne la bite au savon pendant de longues minutes, frottant à m'en faire mal.Enfin, après de longues et minutieuses ablutions, je reviens me coucher, un peu douché par cette expérience inattendue.Inutile de dire que les jours qui ont suivi, je n'ai pas approché de la chambre maternelle. J'ai laissé passer huit jours pendant lesquelles j'ai médité sur mes forfaits nocturnes sans pouvoir les condamner vraiment. Ce que je faisais était monstrueux mais si excitant.Ainsi donc une semaine plus tard j'étais si excité que je n'y tenais plus. Un soir je me mis nu et j'allais la rejoindre sur le lit toujours aussi désordonné. Je repoussais la couverture, il ne faisait pas froid. Elle portait une chemise de nuit rose et soyeuse. Je relevais le vêtement au ...
... dessus de ses reins et je m'allongeais à ses cotés. Ma bite frottait contre son cul, je me collais à son corps et ma main, par-dessus elle cherchait son sein et le trouvait. Je restais ainsi pendant de longues minutes à palper son sein et à bander contre son cul. Quand j'en eu assez de la peloter, ma main revint sur ses fesses et avec une certaine habileté acquise, elle écarta ses fesses et ouvrit en même temps la route vers le vagin. Ma queue se présenta, je sentis sur le bout du gland la chaleur humide et je savourais l'instant. Un long soupir qui se transforma en ronflement me tira de ma torpeur, je fus sur mes gardes, écoutant éperdument le rythme respiratoire de ma mère. Petit à petit il reprit sa longue houle régulière et je me rassurais. Mes reins poussaient ma bite et ce fut un nouveau délice que de sentir les chairs céder petit à petit et sentir ma queue s'introduire dans son ventre à nouveau.C'était une reconquête après sa période de règles, je retrouvais un vagin débarrassé du sang menstruel, tout neuf, et bien humide d'une cyprine exempte de toute scorie. Ce fut un délicieux moment que de m'enfoncer à nouveau dans le ventre dont j'étais issu. Je me senti soudain maître de mener mon désir à mon rythme et à ma façon. Je restais donc sans bouger, histoire d'investir mieux l'espace de son vagin, j'en éprouvais la profondeur en poussant ma bite aussi loin qu'il m'était possible d'entrer et je sentis à un moment mon gland butter au fond sur son utérus. Cela déclancha en moi ...