Toi et Moi dans le local désaffecté - Histoires de Sexe

Toi et Moi dans le local désaffecté

... transforme en plis très fins au départ, puis de plus en plus épais. C’est là que je me dirige, mais auparavant, je plaque mes mains déployées sur tes fesses. Il faudra un jour que je te raconte comment sont tes fesses. Même si tu les regardes dans une glace, peux-tu réellement comprendre ce qu’elles déclenchent en moi ? Oh ! Sûrement une émotion semblable à celle que tu éprouves lorsque tu me demandes de t’exhiber les miennes. Tu me dis qu’elles sont belles, mais le sont-elles autant que tes globes, aussi rondes, généreuses d’une chair vivante et vibrante qui cependant demeure ferme. Je t’en parlerai plus tard, une autre fois, quand nous serons plus apaisés et rassasiés de nos corps. Je te colle contre ma carcasse, mon sexe découvert et trempé se plante aussitôt sur ton string afin qu’il l’enfonce, le perfore et vienne présenter ses hommages à son partenaire. Ma verge froisse le tissu soyeux, il ne la gêne pas mais s’oppose toutefois à sa conquête. Ton corps tangue, ivre de cette caresse, de ce frottement qui te fait entrer dans l’extase du plaisir qui nous emporte. Ma queue s’obstine, frustrée d’être encore éloignée de l’antre qu’elle appelle à grands frémissements, curieuse et fouineuse, elle réussit avec entêtement à écarter l’étoffe trempée qui maintenant doit te sembler superflue. Mes doigts de leur côté, à l’œuvre dans ton dos, soulèvent avec délicatesse la ficelle qui parcourt le creux de tes fesses, ils trouvent sans tarder cette ouverture qui palpite étrangement, ...

... que craint-elle ? Ils savent se montrer très persuasifs tout en en étant persévérants, ils l’amadouent réduisant en quelques secondes toutes tes réticences. Ils le malaxent tendrement car je sais bien que ta porte anale n’aime que la lenteur, la sagesse et une forme de compréhension, surtout que je n’aille pas au-delà de ce que tu voudrais m’accorder. Mais je sens que cet après-midi, ton anus va finir par s’épanouir et s’ouvrir tranquillement, rassuré de ne pas être forcé mais simplement tutoyé, apprivoisé et respecté. Mon anus est lui déjà mouillé pour ne pas dire inondé d’une humeur chaude qui accentue sa dilatation que je devine parfaitement ; il est affamé, il est dans l’attente d‘un de tes doigts qui s’approche timide et pourtant déterminé à s’engouffrer en moi. Tu ne crains aucun rejet, j’adore cette intrusion qui me transporte toujours dans ce monde qui demeure inconnu même si tu sais l’aborder suavement, graduellement et sensuellement. Tu le réveilles tout comme mon sexe, clé magique, qui coure sur ton clitoris que je n’ai pas encore complètement déshabillé. Quelle forme a-t-il réellement ? Est-il aussi translucide qu’une ampoule, tout rose comme un bonbon acidulé ou une pastille que je sors de ma bouche après l’avoir sucée précieusement pour en capturer le goût inestimable d’une première rencontre. Mon sexe glisse, fouille, s’éloigne, revient, se perd un peu pour retrouver très vite son chemin. Il musarde, se promène tranquillement puis accélère sa course, affolé par ...