1. Toi et Moi dans le local désaffecté


    Datte: 18/03/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail grosseins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fdanus, hdanus, exercice,

    ... morceau de lave, matière en fusion, il ne cesse de bouillonner en son chaudron. Il grossit, prenant de plus en plus d’ampleur et de rigidité, quelle taille peut-il réellement atteindre ? L’avons-nous tous les deux conduit à son apothéose ? Celle-ci ne risque-t-elle pas de le voir se déchirer, se fendre comme un fruit trop mûr dont la carapace si épaisse soit-elle ne peut plus contenir chair et pulpe. Il s’épanouit, il jaillit, grosse boursouflure palpitante qui ne saurait tarder à répandre un drôle de jus. Justement celui-ci commence à poindre, tout au sommet de mon gland fendu qui tend le tissu et que nous distinguons parfaitement tant ma coupure naturelle est nette. La tâche minuscule au départ s’étend peu à peu, elle gagne en épaisseur et se met à luire, à étinceler. Tu ne vas pas résister plus longtemps, tu m’as appris à goûter à cette première apparition de mon plaisir. Tu approches un doigt et nettoie méticuleusement cette humidité naissante, il ne faut pas en perdre la moindre larme car tu souhaites partager avec moi l’extrait de liquide. J’aime ce moment où je suis déjà prêt à ne plus résister à tes caresses bien trop précises et ardentes. Tu me connais parfaitement et tu relâches peu à peu ta pression, tu maintiens pourtant ta présence par un autre doigt qui, un peu plus fripon que les autres, s’insinue sous le tissu de mon string, que cherche-t-il cet intrus ? Tu me diras, il n’a aucun mal à s’aventurer sous une protection aussi légère, ma verge est tellement ...
    ... tendue qu’elle soulève tout, je ne serais pas surpris si elle sortait toute seule pour respirer un peu, mais voilà, cet après-midi il n’y a aucune urgence. Alors dégustons ensemble, tu poses un doigt étincelant de ma liqueur naturelle sur mes lèvres. Je les ouvre, sors ma langue avide et qui se creuse pour recueillir le précieux nectar, je le lèche consciencieusement puis l’engouffre dans ma bouche, le recouvrant abondamment de salive. Comment traduire sa saveur, impossible je pense, cela ne me fait penser à aucun fruit, sirop ou alcool connu, encore moins à une sucrerie ou au miel dont je raffole. Non, c’est complètement unique, sucré, onctueux presque visqueux, un peu comme ces filets de colle qui sortent des tubes et que l’on peut étirer à l’extrême avant qu’ils ne se rompent. Je me régale mais tout n’est pas pour moi. J’ouvre la bouche, repoussant ton doigt que je guide de nouveau vers le sommet encore humecté de mon gland, puis je le guide en tremblant vers tes lèvres qui s’entrebâillent aussitôt. Elles le font disparaître prestement et le sucent longuement, sucre d’orge vivant que tu fais entrer sortir, entrer et sortir jusqu’à ce qu’il soit sec. A-t-il encore suffisamment de goût, même si j’en doute à te voir le lécher sans interruption ? Oui, probablement car tu insistes. Tu poursuis ton jeu avec ma verge que tu viens enfin de sortir de son refuge, tu n’aimes pas trop qu’elle demeure trop discrètement cachée, attirante, excitante d’accord mais tout de même cachée donc pas ...
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