1. Sauter du phoque à l'âne


    Datte: 19/03/2018, Catégories: f, h, hh, fhhh, hbi, hplusag, Collègues / Travail sauna, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, hdanus,

    ... s’emparer de moi, je me lève et retourne dans le bain. Claude semble lentement sortir d’un cauchemar. Il s’assied, comme abattu par ce qui vient de se passer, cachant sa tête entre ses mains. Les traces de nos épanchements se mélangent aux gouttes de transpiration et de vapeur qui coulent le long de son torse. Il reste immobile, à dégouliner piteusement de foutre et de sueur. — Putain, c’est pas vrai, je suis un pédé, un putain de connard de pédé, gémit-il.— Attends ! Tu ne vas pas me faire une dépression pour une petite branlette entre collègues, non ?— Parce que deux mecs qui baisent, t’appelles ça une branlette entre collègues, toi ?— C’est mon cul qui t’a fait bander, tout à l’heure ?— Sûrement pas, non !— T’es tombé amoureux de moi, sous mes caresses lascives ?— Bien sûr que non, bordel ! Mais ça n’a rien à voir. L’équation est simple : un mec + un autre mec = deux pédés, point barre !— Deux enculés de pédés, pendant que tu y es !— C’est quoi, alors, ce qu’on vient de faire, monsieur le psycho-sexologue de mes deux !— Je te l’ai dit, une branlette entre collègues, rien d’autre. Tu m’as foutu ta belle queue sous le nez, j’ai eu envie de la branler, dont acte. D’ailleurs, si tu veux mon avis, le pire dans cette aventure, c’est que nous avons tous les deux trompé nos femmes. Le reste me semble sans intérêt !— Une branlette entre collègues, va te faire foutre !— Je sors d’en prendre, merci !— Arrête tes conneries, c’est déjà assez difficile à vivre sans ça ! Parce que pour ...
    ... toi, je ne sais pas, mais pour moi, c’était comme qui dirait une première fois. Tu m’aurais dit hier encore que je me laisserais branler vite fait entre deux portes par un collègue, je te collais une baffe. Là, comme un connard de pédé, non seulement je me laisse faire, mais… ah ! Bordel de merde, j’arrive même pas à le dire à haute voix…— Que tu t’es pris un pied d’enfer, où est le mal ?— Le mal, c’est que je ne me reconnais plus. À moins d’être depuis toujours un pédé tout au fond de moi, je n’y comprends plus rien ! Jusqu’à ce soir, rien que l’idée me dégoûtait. Alors je ne sais pas quel genre de mec tu es, mais il n’y a pas de doute que tu as bien organisé ton truc. Avoue que tu as tout manigancé ?— Je n’ai jamais couché avec des mecs, pour répondre à ta question. Et je te rappelle que c’est toi qui bandais au départ, pas moi.— Je bandais, ouais, la belle affaire ! Si t’y as jamais goûté, pourquoi me sauter dessus ? Et pourquoi me suis-je laissé faire, mais pourquoi ?— Désolé, mais vu comme ça, je ne vais pas pouvoir t’aider.— De toute façon, là, il faut que je sorte. Je ne me sens pas bien. J’ai besoin d’être seul. Il s’essuie rageusement et sort précipitamment de la salle d’eau. — À demain, au boulot ! Bonne fin de soirée quand même… Il doit vraiment être perturbé, parce que demain, c’est mardi, son jour de congé ! Je reste encore un moment dans le bain du sultan, histoire de mettre ensemble les pièces du puzzle. Puis je vais m’allonger dans la salle de séchage, entouré ...
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