Sauter du phoque à l'âne
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
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Collègues / Travail
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
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Règle numéro une : ne jamais tremper son biscuit dans l’organigramme. C’est ce qu’un copain a écrit il y a longtemps en exergue sur mon cahier de notes perso. Je n’utilise aucune électronique pour stocker mes idées, tout ce qui me passe par la tête arrive dans ce cahier. Je retombe ainsi régulièrement sur cette maxime. Le clin d’œil me fait marrer et depuis, au boulot, j’évite soigneusement les regards trop directs, j’ignore les décolletés et les chutes de reins, je retiens tout geste pouvant prêter à confusion, toute remarque à double sens. Surtout dans mon nouveau job, commencé il y a quelques mois. De toute façon, il n’y a pas grand risque de tentation, ni de dérapage dans cette boîte. Même si, soit dit en tout bien tout honneur, la cheffe de département serait assez mon genre. Le style gitane, à l’aise dans sa quarantaine bien sonnée, la chevelure aussi noire que le regard, des formes généreuses, une sensualité à fleur de peau, de très belles mains aux doigts longs et fins, un humour incisif. Hiérarchiquement, entre Barbara et moi se trouve Claude, jeune ingénieur prometteur qui a reçu pour mission de développer un des nouveaux produits de l’entreprise. Nous nous sommes d’emblée bien entendus. Je pige au quart de tour ce qui se passe dans sa tête, il comprend mon mode de fonctionnement plutôt complexe. En plus, j’admire son côté sportif et son élégance naturelle, que je suis loin de posséder. Donc, jusqu’à maintenant, aucun regret d’avoir pris le risque de changer ...
... d’activité à la cinquantaine. Seule ombre au tableau, mon lieu de travail se trouve à plus d’une heure de voiture de mon domicile. Ce qui m’oblige à faire de longues journées en début de semaine, et parfois même à dormir sur place. Claude semble avoir adopté le même rythme de travail que moi. Il n’est donc pas rare qu’on se retrouve en fin de soirée autour de la machine à café à échanger quelques banalités. Juste ce qu’il faut pour se situer sans trop se découvrir. Je n’ai aucune envie de savoir ce qu’il fait en dehors du travail. Et je déteste me sentir obligé de passer mes moments libres à boire des verres avec des collègues. Chacun son truc, une fois passées les portes de l’entreprise. À l’exception bien sûr de quelques menus services que nous nous rendons en cas d’urgence. Comme l’adresse d’un petit hôtel qu’il m’a refilée, un soir où ma femme est venue me rejoindre sans prévenir. Un truc romantique, qui correspondait exactement à ce dont nous avions besoin pour requinquer notre couple. En retour, je lui ai dégotté une petite boutique, où trouver de quoi se faire pardonner une incartade dont je ne souhaite pas connaître le détail. Rien de plus naturel, par conséquent, à ce que je demande à Claude l’adresse d’un truc genre bain thermal, où aller oublier la grisaille d’un hiver qui n’en finit plus. Quelques minutes plus tard, j’ai sa réponse sous forme d’un lien sur le site d’un hammam extraordinaire. Le Palais des Mille et une Nuits, évidemment. D’après ce qu’en dit la pub, un ...