Passé-croisé
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... ces sacs. Une des filles, celle qui semblait la plus ouverte, hoche la tête ; l’autre se mord les lèvres et fait de grands gestes de dénégation avec ses bras. Nous suivons Chloé, silencieusement, rasant les murs. J’entends la fille nous suivre. Un premier sifflet, un autre, puis tout un concert d’applaudissements. Un « C’est une honte, appelez la sécurité ! » nous fait accélérer le pas, et c’est en courant que nous franchissons la porte de la salle. Un long couloir sombre mène à la sortie sur le parking. Chloé ouvre la porte : notre voiture est là-bas, à une vingtaine de mètres, bien éclairée par les lampadaires. Notre nouvelle associée n’en revient pas : — Ouah ! Vous vous êtes même pas rhabillées dans le couloir !— C’est à dire qu’on a peut-être la sécurité au cul, et il est pas très couvert…— Ho ! Je vous laisse filer alors. Merci, merci pour tout ! Tenez, c’est mon 06 si vous refaites un plan comme ça un jour !— Tu participeras plus activement, j’espère ? demande Chloé qui ouvre la voiture à distance et se dirige vers elle d’une démarche naturelle. Je prends le numéro de téléphone et ...
... m’élance vers la voiture à mon tour. — Je… je sais pas, répond-elle, nous suivant toujours avec les sacs. Val lui reprend les sacs, les met dans le coffre, toujours nue, puis me rejoint à l’arrière de la voiture. Elle s’allonge sur le dos et pose sa tête sur mes cuisses. La fille, sidérée, contemple mon amour qui commence aussitôt à se caresser, les jambes bien écartées. Je lui fais signe de s’approcher de moi ; elle fait le tour de la voiture. D’un geste je l’invite à s’approcher encore. Sa tête passe la portière. Je plonge alors deux doigts au fond de moi, les retire, en lèche un et lui fais goûter l’autre avant qu’elle n’ait eu le temps de se reculer. — Voilà, adieu ou au revoir ! Chloé démarre. Dans le rétro, je vois une jeune fille, un peu perdue, un peu heureuse. Nous faisons le tour du rond-point. Elle nous fait de grands gestes ; sa culotte, toute blanche, brille dans la lumière artificielle. — Le cadeau que tu lui as fait en partant, c’était pas juste une graine, alors ? conclut Chloé. Souriante et silencieuse, je m’allonge sur Val pour butiner le jardin pas si secret qui m’est offert.