Passé-croisé
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Samedi 19 juillet 2014 J’enlève ma robe légère – mon seul vêtement – et la pose sur le canapé. Val, déjà toute nue, court devant moi ; elle quitte le salon et pénètre dans la véranda. La piscine de Karl et Chloé y débute, à moitié dans la maison, à moitié dans le jardin. C’est avec une joie sans cesse renouvelée que nous venons régulièrement profiter de l’hospitalité (et un peu plus) des jeunes parents. Val descend les marches et s’enfonce dans l’eau bleue. Deux ans ont passé. Seule sa coupe de cheveux a changé ; c’est toujours ma Val, mon adorée. Assise sur le bord, je trempe juste un pied dans la piscine, préférant admirer ma belle qui nage vers le jardin, passe sous la baie vitrée à moitié ouverte. Dehors, isolée du reste du monde par une haute haie, Chloé lui fait un signe de la main depuis son transat. — Coucou Chloé ! Tu viens te baigner ? lui demande Valérie. Je connais la suite par cœur, mais ni elles ni moi ne nous en lassons. — Je n’ai pas de maillot ! la provoque Chloé qui, je le vois bien, ne porte rien sous son fin paréo bleu.— Moi non plus ! s’exclame Val juste avant de repartir vers la maison en dos crawlé. Nous admirons alors ses seins, le bombé de son sexe parfaitement lisse offert aux derniers rayons du soleil. Un mouvement attire mon œil : le paréo de Chloé glisse au sol. Toujours aussi belle, la jeune maman plonge à son tour. Elle arrive rapidement au niveau de Val et lui fait la bise. — Un jour, vous me ferez quand même le plaisir de porter l’un de ...
... mes maillots, quand même, non ?— Tu peux parler, Chloé ! Ça fait combien de temps que tu ne portes même plus tes propres créations, même pour aller travailler ? Je les rejoins en quelques brasses et me mêle à la conversation : — Pas si longtemps ; c’était mardi. Pas vrai, Chloé ? Nous repensons toutes les deux à cette fin d’après-midi, dans sa boutique de lingerie, où pour convaincre un fiancé frileux du porte-monnaie nous avons organisé un petit défilé. — Exact, Claire. J’espère d’ailleurs que ton travail sur ma comptabilité n’en a pas été affecté. Eh oui, depuis que j’ai abandonné mes études, je travaille à plein temps pour Chloé : vendeuse, modèle pour ses créations… et comptable, la dernière corde à mon arc. Val, à qui j’avais bien sûr raconté l’histoire en détail, passe tout de suite à un autre sujet : — On n’a pas vu Karl en entrant ; il est avec la petite Claire ?— Oui, ils passent le week-end chez ses parents.— Chic, on va être tranquille toute la soirée, et même toute la nuit, juste nous trois ! Ça fait bien un an que ça n’était pas arrivé ! Un an, un tout petit peu plus que l’âge de ma filleule. Un an… Je me souviens : je commençais le récit de mon passé, de ma tentative de suicide à l’annonce de la grossesse de Chloé. Un an… Timidement, je faisais lire d’abord à Val, puis à Chloé ce récit. Mon esprit remonte le temps, et je nous revois toutes les trois, il y a deux ans, nues sur la plage, offertes au regard de Karl qui allait beaucoup mieux, mais qui comptait bien ...