DEVENUE S.M.
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Tout a commencé après 7 ans de mariage deux de mes copines m’avait mis en garde sur cette année fatidique, où les couples se font et se défont. J’étais allongée nue sur notre canapé la tête reposant sur des coussins, car je sortais de ma douche, Vivian avait posé mes jambes sur lui et je sentais que le fait de bouger commençait à le faire bander. Je l’ai taquiné et sa seule réponse a été une tape sur le côté de mes fesses qui m’a fait mal. J’ai crié, cela a semblé lui faire plaisir, il a recommencé avec le même résultat. J’ai continué à le contrarier et comme réponse a été de redoubler de faire rougir mes fesses. Il m’a retourné et elles ont vu, j’en avais les larmes aux yeux à deux doigts de partir en sanglots. Je me tortillais comme un ver de terre que l’on tient par un de ses bouts et qui cherche à se libérer. Plus je me tortillais et plus cela semblait lui faire plaisir. De mon côté sauf les larmes, ma haine montait de plus en plus envers cet homme que je côtoyais depuis plus de sept ans et qui osait me frapper. Si je me tortillais, c’était pour lui échapper et retourner chez ma maman. Hélas, elle aussi m’a abandonné aux mains de ce maniaque en partant habiter à New York avec un homme plus jeune qu’elle et qui pour tout dire a mon âge. Et me tenir d’une main en me frappant de plus en plus fort de l’autre au point que je suis sûr qu’il commence à m’arracher la peau des fesses ou tout du moins me les rend écarlates, un de mes pieds lui échappe et en essayant de le ...
... rattraper, les deux se trouvent libérés. J’en profite pour pivoter sur moi-même et de chuter au sol sur ce fessier qu’il vient de martyriser. Une nouvelle fois il essaye de me rattraper et la seule chose qu’il trouve, ce sont mes cheveux qui par le mouvement que je fais, tombent sous la main. Je tire, mais j’ai horriblement mal, c’est là que tous craquent en moi. S’il persiste à tirer, il m’arrache, une mèche de cheveux aussi je sens sa main relâcher sa pression. Par ce mouvement de recul de sa main, il me fait voir qu’il m’aime alors je me relève et je pars en courant dans la première pièce qui s’offre à moi. C’est la cuisine et comme il m’a suivi, nous tournons autour de la table qui fait rempart entre nos deux corps. Pour me coincer, il pousse la table, mais il lui faut bien la contourner même s’il tend un bras par-dessus. Je lui échappe de nouveau et c’est dans la chambre qu’il me rejoint persuadé que je vais céder sur le lit qui nous tend les bras. C’est mal me connaître, car jusqu’à peu, j’étais gymnase et j’en ai gardé une souplesse assez grande. Il croit me coincer dans la rigole du lit sur ma carpette, mais aussi agile qu’une chatte, j’arrive à sauter par-dessus le dessus de lit une nouvelle fois et à retomber de l’autre côté. J’oublie de l’attendre et je passe dans notre salle de bain où je repousse la porte. Je perds l’avantage acquis le temps qu’il fasse le tour du lit, j’espérais refermer la porte à clef, mais il la pousse avant que je réussisse ce geste. J’ai plus de ...