1. DEVENUE S.M.


    Datte: 19/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pleine journée alors que de l’autre côté il y avait l’ascenseur et leur regard réprobateur m’a fait prendre conscience qu’il faut faire un peu plus attention surtout au bruit. Une heure avant que Vivian ne revienne de son travail, j’enfile la combinaison en latex noir. J’ai acheté un modèle ou la seule partie dégagée du corps, ce sont mes parties intimes avant et arrière avec surtout un postérieur à la portée de celui qui va arriver. Pour le bruit, j’ai suivi le conseil et je fixe dans ma bouche une boule à bouche pouvant être mordue si je retrouve les plaisirs de la semaine dernière. Enfin avant de m’attacher, je pose sur le lit une cravache, un gant de crin que Défonce77 préconise après une bonne phase de cravache. Il reste la queue de mon homme que je peux stimuler s’il le veut. Ma combinaison possède une cagoule obstruant ma vue me permettant de me concentrer sur mon plaisir et un trou dégageant ma bouche afin que je puisse sucer la bite qui me sera proposée. J’ai conscience au moment où je mets tous ces artifices de devenir la femme-objet de mon mari. Qu’à cela ne tienne d’après ce que j’ai lu être une telle femme décuple le plaisir de celle aspirant à trouver un plaisir d’une très grande intensité ! Lorsque Vivian arrive, je suis dans l’impossibilité de lui faire savoir ou je suis. Je l’entends aller et venir dans l’appartement semblant pester contre mon absence. Il va même jusqu’à téléphoner à Aline mon ami pour savoir si elle m’a vue. Défonce77 a oublié d’écrire que ...
    ... j’aurais dû flécher le parcours pour qu’il me rejoigne. Le plus beau c’est que la porte de la salle de bain est ouverte et qu’il prend une douche. Je bouge sur mon lit et je pousse des petits cris qui finissent par l’intriguer et je l’entends approcher de la chambre où je suis prête à me faire prendre et surtout martyriser. Lorsqu’il comprend que je suis là, il semble avoir un moment d’arrêt, car pendant quelques secondes plus rien ne bouge. D’un coup comme mes yeux sont obturés le premier coup de cravache m’apporte directement, un orgasme venu du fond de mon cerveau. Il me flagelle toujours plus fort et le bras certainement fatigué, le gant de crin au début m’apporte de la douceur pour terminer par me cuire deux fois plus que lorsqu’il me donnait des claques. Vient le moment où je le sens monter sur le lit et où il me pénètre me donnant plus de plaisir que dans notre couloir. Vivian me prend comme une bête qu’il semble être devenu et après plus d’une heure de ce traitement, c’est dans ma bouche qu’il vient me donner mon repas du soir après avoir détaché la boule. Lorsqu’il a fini de prendre son plaisir, il me laisse seule à méditer ce que je ressens et surtout un immense amour pour celui qui a compris le besoin de violence qui s’est dégagé de mon corps après la première fessée qu’il m’a procurée sur notre canapé. La seule chose qu’Internet pour retrouver la plénitude de mon plaisir, non, de nos plaisirs a oublié de préciser, c’est qu’il est parti manger me laissant dans mes ...