1. Pudeur indécente / Pudeur débridée


    Datte: 20/03/2018, Catégories: f, fh, fhh, fbi, extracon, voisins, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, hdomine, vengeance, Oral Partouze / Groupe exercice,

    ... jeux de mains, tu enfiles une culotte sur laquelle tu boutonnes fébrilement une paire de jeans. Puis, après avoir emprisonné tes seins dans une dentelle armée d’acier, tu revêts ce vieux pull morne qui dilue si bien tes formes. Depuis ton réveil, tes mamelons pointent à t’en faire mal. Tu t’abstiens pourtant de les masser. Dieu sait ce qui pourrait arriver… « Dieu » n’a rien à voir là-dedans, bien entendu. C’est l’œuvre du démon, un diable rouge et fourchu à la queue menaçante… Cette même queue que tu ferais volontiers coulisser dans ta bouche, si on t’y forçait. Tu protesterais, évidemment, avant de l’engloutir. Et tandis que tu suffoquerais sous les assauts de cette pine infernale, la chaleur dans ton ventre se ferait véhémente… Ouvrant les yeux, tu te rends soudain compte qu’une dextre nerveuse s’est glissée entre tes cuisses et astique machinalement ton bouton. Ça ne va pas recommencer ! Stop ! Tes doigts abandonnent à regret l’élasticité chaude de ta vulve. Repoussant de justesse la sournoise envie de les lécher, tu te savonnes sous le robinet. C’est plutôt ta chatte, que tu devrais passer à l’eau froide. Café, un peu de sucre, lait, croissant, n’oublie pas la confiture. Obnubilée par l’interdiction de te toucher, tu n’arrives plus à te concentrer sur le petit déj’. Fait chier, bordel ! Tu expédies le tout très vite, puis tu vas te brosser les dents. Tu regardes ta montre. Le rituel matinal, bousculé, compressé, t’as pris moins d’une demi-heure. Que faire du temps qu’il ...
    ... reste avant ton rendez-vous ? Aller aux toilettes, bien sûr. C’est chaque fois pareil : à peine le bol terminé, il faut que tu pisses, comme si le breuvage ambré allait faire déborder ta vessie toujours trop petite. Entracte doré, les gouttes pleuvent. Au moment de s’essuyer, la peluche cotonneuse du papier hygiénique te met au supplice. Combien de temps encore, avant que ce besoin compulsif n’épuise ta volonté ? Plus beaucoup… Vaincue, tu sors alors de son étui transparent l’espèce d’horreur qu’il t’a fait acheter, ce truc que tu t’étais promis de ne jamais porter. Tu ôtes pourtant ton jean et, tant bien que mal, tu mets en place la ceinture de chasteté. Une fois serrée, cadenassée, plus rien ne passe, même pas un doigt. Touche finale : des collants sombres qui t’emprisonnent jusqu’à la taille. C’est une vraie torture : la coque en plastique gêne chaque mouvement, le Lycra te donne des bouffées de chaleur. Mais le pire, c’est ce bouillonnement dans ton vagin. Tout à l’heure, il te fera te déshabiller et t’inspectera sous toutes les coutures. Une fois accroupie sur son bureau austère, que crois-tu qu’il va se passer ? Les litres de lave enfouis entre tes cuisses vont transformer ta fente en fontaine. Et là, tu auras l’air de quoi ? Dernier regard dans la glace, dernier coup de peigne, pas de maquillage. Tu boutonnes ton long manteau beige jusqu’au cou. On dirait une bigote, pâle et défaite, qui part à confesse avouer ses mauvaises pensées à un jésus de plâtre. La clef tourne ...
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