1. Pudeur indécente / Pudeur débridée


    Datte: 20/03/2018, Catégories: f, fh, fhh, fbi, extracon, voisins, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, hdomine, vengeance, Oral Partouze / Groupe exercice,

    ... dans la serrure, une volée de marche et c’est le dehors. Le froid cinglant de l’hiver tente de te remettre les idées en place. Ça ne va pas durer. Trois cents mètres à gauche, on arrive déjà au boulevard. Tu t’enfournes dans le métro comme une valda dans une gueule puante. Quai bondé ; tu poireautes, mais rien ne se passe. Personne ne sait s’il s’agit d’une grève, d’un colis suspect, d’un incident. Tu imagines une voix amorphe, annonçant dans les haut-parleurs qu’une inconnue s’est jetée sous la rame. Ce n’est pas toi qui aurais ce courage-là… Trop faible. Après tout, tu n’es qu’une larve lubrique et putanesque, comme te l’a dit ton père lorsqu’à onze ans il t’a surprise la main dans la culotte. Une heure plus tard, tu ressorts enfin à « La Fourche ». Un nom approprié. Coincée entre trois types au regard bovin, tu as failli te sentir mal. La peur au ventre, ou bien le ventre vide… Un instant, l’air goguenard, l’un de ces mecs t’a regardée. A-t-il senti l’odeur de fille facile, sous tes airs frigides ? Difficile à dire. Il n’a pas essayé de te tripoter, en tout cas. Dommage, tu l’aurais bien laissé faire. Le plaisir de voir sa surprise. L’immeuble est gris, impersonnel. L’ascenseur te brinquebale jusqu’au sixième. Au bout du couloir se dresse une porte noire, sinistre. Une plaque en laiton indique : « Père Adrien : purification par la prière ». Tu aurais pu choisir un psy, tu as préféré un prêtre. Aucune envie de parler de ton passé, de laisser quiconque fouiller dans ta ...
    ... tête. Tu tournes la poignée sans frapper. Tu es pile à l’heure. D’ailleurs il t’attend, sans impatience, debout au centre de la pièce, une badine à la main. Longue tunique noire, col romain, trogne burinée et sévère d’ancien para. Le seul être qui puisse te sauver. Tu t’avances en frissonnant. La lourde porte blindée se referme sur toi. Personne ne t’entendra crier… oooOOOooo deiam.knowbodies Lady Lolhe se figea, comme frappée par la foudre… L’instant – en pleine cavalcade sauvage sur un éphèbe monté comme un étalon, tandis qu’une hétaïre léchait et doigtait avec enthousiasme ce qui pouvait l’être de son auguste croupe – ne s’y prêtait pourtant guère ! Mais cette activité frénétique qui, il y avait quelques secondes encore, lui agréait follement, tout soudain la révulsait. Poussant un hurlement de biche blessée à mort, elle s’arracha de la luxurieuse composition pour elle exécutée par ses gens et, affolée, déchira un large pan d’une des tentures qui décoraient la pièce pour s’en draper en toute hâte, avant de glapir : — Gaaaaaardes ! Et d’enchaîner, comme la porte s’ouvrait à la volée sur une demi-douzaine d’impressionnantes forces de la nature prêtes à se déchaîner : — Assurez-vous de ces démons de vice et de dépravation, et jetez-les au plus profond des mes culs… Cette fois encore, elle fut comme stoppée net dans son élan, et reprit, sur un ton bien plus doux : — Et puis, non, allez, ils n’ont fait que m’obéir… Chassez-les du palais, que je ne les voie plus, c’est tout ! ...
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