1. 22 ans après j'ai succombé aux charmes de ma première épouse


    Datte: 13/07/2017, Catégories: fh, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, consoler,

    ... continuer à profiter de l’éclairage pour détailler son corps. Je voyais ses aréoles à travers la dentelle plaquée sur ses seins. Son string transparent me permit de voir qu’elle n’avait plus sa petite toison blonde aux poils si fins qu’on les voyait à peine. Elle vit mon regard s’approprier son corps, le rouge lui monta aux joues en réalisant que ses dessous ne masquaient plus rien. Elle pivota et s’éloigna vers une zone moins éclairée, me présentant sans le vouloir son magnifique fessier. — Ouaahhhhh, superbe fessier que je vois là ! Merci.— Greg, tu me mates. Je sais bien que tu m’as vue des centaines de fois mais ça me gêne. Et puis maintenant j’ai des fesses et des hanches énormes. À part mes seins, je ne suis plus bandante. Sans avoir à lui mentir, je la rassurai, lui assurant que depuis mon célibat, j’avais culbuté pas mal de petites jeunettes mais que ce que je venais de voir n’avait rien à leur envier et qu’elle me faisait toujours autant d’effet. — C’est sincère ce que tu me dis, où t’as simplement envie de culbuter ton ex comme une de ces petites jeunettes, comme tu dis ? Enfin juste tirer un bon coup, quoi !— Allons, tu me connais assez bien pour savoir que je ne suis pas aussi calculateur. Quoique, à la réflexion, on s’entendait bien pour la bagatelle et chacun y trouvait son compte, n’est-ce pas ?— Ça, c’est bien vrai. Après toi j’ai connu des mecs, des vrais cons, machos et en plus même pas capables de se rendre compte que j’étais restée sur ma faim. Combien ...
    ... de fois j’ai pensé à t’appeler, simplement pour me faire monter aux rideaux de temps en temps.— J’y crois pas ! C’est dingue que tu me dises ça, car pour moi c’était pareil, surtout quand je tombais sur une nana qui s’y prenait mal pour me faire une gâterie ou qui ne voulait pas qu’on lui touche sa petite rondelle. Sans nous en rendre compte, nous nous étions rapprochés l’un de l’autre. Mylène se fit câline en me demandant si c’était bien vrai que je ne voulais pas simplement tirer un coup. Je la pris dans mes bras pour la rassurer en lui disant que si elle n’avait besoin que d’un peu de tendresse, c’était ok pour moi ; puis je la fis basculer sur le dos, afin de caler sa tête sur mon épaule et la maintenir ainsi, me déplaçant lentement comme pour la bercer dans l’eau. J’en profitais pour caresser son dos et ses flancs. Je la sentis se détendre, se laisser aller, s’abandonner. Elle murmura : — C’est bon d’être dorlotée. Ça faisait longtemps, tu sais.— Je sais, je connais ce besoin moi aussi. On resta un bon moment comme ça, à l’écart du temps. Mylène me dit : — Tu sais, je n’ai plus jamais rencontré un mec capable de me faire l’amour comme toi. C’est toi qui m’as fait jouir en me sodomisant, tu te souviens. Mon ex n’aimait pas ça. Pendant des années nada, nothing, rien du tout de ce côté. J’ai vraiment été frustrée.— Moi je t’avoue que j’y ai souvent pensé. Glisser mon gland sur ton anneau pendant que tu commençais à te caresser le bouton, puis m’enfoncer en toi, coulisser ...