1. 22 ans après j'ai succombé aux charmes de ma première épouse


    Datte: 13/07/2017, Catégories: fh, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, consoler,

    ... jusqu’à voir ton anneau rester ouvert dans l’attente de mon retour, c’était une image forte que j’ai encore en moi. Je la sentis frémir de la tête aux pieds. Je savais que ce n’était pas à cause du froid mais je voulais me l’entendre dire. Aussi je fis mine de m’inquiéter si elle avait froid. Elle me rassura en m’affirmant qu’il n’était nullement question de froid mais plutôt du contraire, m’avouant, comme si je ne le savais pas, que mes paroles lui avaient remémoré des sensations fortes. Par contre, elle voulait bien qu’on sorte pour discuter tranquillement de tout ça. Je sortis le premier et lui tendis un drap de bain. Sans se cacher, elle enleva son string devant moi, puis son soutien-gorge et commença à se sécher en me demandant mon aide. Il faut dire que le tissu trempé ne cachait rien de ses atouts. Je me plaçai derrière elle et commençai à la frictionner, ce qui déclencha des soupirs de satisfaction. Rapidement, je laissai glisser le drap de bain à ses pieds puis caressai son dos, ses flancs et descendis vers ses fesses. Elle se retourna pour me faire face et : — Greg, qu’est-ce que tu fais ? Arrête parce que sinon je ne réponds plus de rien. J’en meurs d’envie, alors n’en profite pas.— C’est toi qui décides. J’ai une folle envie de te faire un gros câlin. Elle plongea ses yeux dans les miens en disant : — Bon d’accord, fais comme tu le sens. J’espère qu’on n’aura pas à le regretter. Puis elle se tourna pour me présenter son dos et laisser mes mains continuer ce ...
    ... qu’elles avaient commencé. Mes doigts se mirent à parcourir son corps, explorant chaque parcelle de sa peau, déclenchant des gémissements de plus en plus significatifs lorsque j’approchais de ses fesses, de son ventre ou de ses seins si sensibles. Je la tournai alors vers moi pour prendre en bouche les tétons l’un après l’autre et lécher voluptueusement les aréoles presque aussi claires que sa peau. Puis je me laissai glisser à ses pieds et déposai des baisers sur son ventre tandis qu’elle appuyait sur ma tête pour m’inviter à descendre visiter sa petite chatte. — Je vois que tu t’épiles entièrement maintenant. Avant, tu ne voulais pas.— Oui, mais j’avais tort. C’est tellement bon une bonne langue travailleuse qui glisse sur la peau. Le message était clair. Je posai mes mains sur ses fesses pour l’attirer contre moi, contre mon nez que j’enfouis entre les grandes lèvres très développées chez elle. Après l’avoir humée à pleins poumons, je sortis ma langue que j’appliquai bien à plat tout autour de sa chatte pour la lécher, me rappelant combien elle aimait cette sensation d’être lapée comme s’il s’agissait de la langue d’un animal. Elle ne put s’empêcher de m’encourager : — Aaahhhh ! J’avais oublié comme tu faisais ça bien ! C’est trop bon. Mon bouton trépigne d’impatience. Comme elle me le demandait, je glissai ma langue entre ses lèvres tandis que, d’elle-même, elle les écartait pour me faciliter l’accès. — Ah ouiiiiiii ! J’ai les jambes en coton. Il faut que je m’allonge ou que je ...