1. Colis piégé


    Datte: 21/03/2018, Catégories: f, ff, ffh, fagée, inconnu, Collègues / Travail groscul, fdomine, Masturbation Oral jouet, jeu, humour, hff,

    ... semble aussi peu douée pour trouver l’interrupteur ce soir, que mon colis ce matin. Incertain sur l’avenir que réserve le comité de lecture à mes œuvres licencieuses, je prends mon mal en patience sans me manifester. Tout le contraire de la dame, que je sens soudain très près de moi. Si près que son parfum, pourtant discret, stimule agréablement mes terminaisons olfactives et provoque d’inattendues réactions viriles. Elle se blottit maintenant contre moi. Glissant sa main le long de ma taille, elle passe sous mon pull et caresse mon ventre. Elle s’amuse à lécher mon torse, avant d’avancer son visage tout contre le mien. Quelques baisers furtifs suivent, jusqu’à ce qu’elle s’empare de mes lèvres. — Ah, putain que c’est bon ! gémit-elle après un interminable patin de luxe. Elle se détache de moi. Je la crois repartie à la recherche d’une source de lumière. Pourtant, les frottements et les légers bruits que je perçois ressemblent plus à ceux que font des vêtements qu’on retire. Bingo ! La diablesse est pratiquement nue lorsqu’elle vient reprendre place entre mes bras. Si c’est le prix à payer pour récupérer mes bouquins, qu’il soit fait selon sa volonté ! D’autant qu’elle a la peau particulièrement douce, et chaude. Et le contraste avec le tissu de ses dessous, qu’elle a la coquetterie de garder, est franchement bandant. — Tu commences à comprendre pourquoi tu es là ?— Vous aviez parlé d’un comité de lecture…— Il est mignon, mon auteur cochon ! La lecture, elle est faite depuis ...
    ... longtemps. C’est justement ce qui nous rend si chaudes, Brigitte et moi. Pendant qu’elle me fait part de leurs émois de lectrices, elle ne cesse de me caresser, me palper, m’embrasser partout où elle trouve de la peau nue. Pour la première fois, je commence à m’inquiéter des conséquences possibles de la qualité de mon écriture sur ma résistance sexuelle, vu l’appétit dont cette admiratrice fait preuve. D’autant que le rai de lumière que je distingue de l’autre côté du local confirme que nous ne sommes pas seuls. Ce n’est rien de fantasmer, encore faut-il assurer le service après lecture. Personne ne m’avait prévenu. — Non, j’avoue, je ne vois pas très bien ce que vous attendez de moi, fais-je aussi ingénument que possible.— Le meilleur, mon beau, juste le meilleur ! Mais sous forme de punition, histoire de lutter contre la grisaille ambiante.— Me punir, mais que vous ai-je fait ?— Rien, c’est bien le problème… Ce matin, tu ne m’as pas regardée en me tendant ton formulaire C 465. Tu ne peux pas savoir ce que c’est blessant d’être transparente à longueur de journée.— J’en suis désolé, loin de moi l’idée de vous mépriser.— Bah, c’est un peu tard, le mal est fait.— Comment me faire pardonner ?— Nous, les types mignons qui ne nous impriment pas, on en fait un bon souper. Tu captes mieux ?— Euh…— Disons que d’après ce qu’on a lu de tes bouquins, ça ne nous déplairait pas d’être les héroïnes d’une de tes nouvelles. On a tout pour bien faire, non ? Ce disant, elle prend mes mains et ...
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