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Rencontre au sexe shop (2)
Datte: 22/03/2018, Catégories: Transexuels
Le nouvel arrivant me fait tourner sur place. M’attrape par les tifs. Prend sa queue à pleine main et me flagelle le visage avec. — Ainsi t’aime la bite ? Celle-là n’a pas les mêmes dimensions que Marc mais, foi de Didier, tu vas quand même en prendre plein ton cul de pute. Et pour cela tu vas me la mettre en forme. Là, je peux le voir. Il est plus petit que moi mais tout mince. Il a un visage en lame de couteau. Son nez ressemble à un bec d’aigle. Mais ce qui me frappe le plus c’est sa pilosité. « C’est pas possible ! C’est un descendant directe du singe ». Sur les bras, la poitrine, le bas ventre et les cuisses la pilosité ne permet même pas de voir sa peau. Il est vrai qu’avec cette faible luminosité… Je m’aperçois que sa pine se dresse comme un menhir au milieu de cette forêt. Elle est droite comme un « i ». Enfin presque, parce qu’elle a une petite tendance à se courber vers le haut. Son gland n’est pas rond comme Marc mais plutôt allongé et d’un diamètre disproportionné par rapport au diamètre de sa pine. « huummm, elle doit faire du dégât dans un cul ! » C’est sans crier gare qu’il me l’enfonce jusqu’au fond du gosier. Il est vrai qu’elle est loin d’être aux dimensions de son pote. Mais elle est tout de même au-dessus des peines à jouir du coin. Il est partie dans une série de défonces. Je n’ai même pas besoin de travailler, juste à bien enrober sa pine avec mes lèvres. À peine cinq minutes après elle est toute raide. Il m’oblige à prendre appui sur les accoudoirs du ...
... fauteuil, dans lequel se trouve déjà Marc qui a placé son cul juste au bord et qu’il est en train de se redresser la pine par de lents va et vient. - houuuaaaaa! Didier vient de me poignarder jusqu’au fond de mes boyaux. Et la surprise me fait fermer les yeux. Il me prend par les hanches et commence à me travailler le cul. Je m’attendais à ce qu’il continu de me défoncer, mais non. Il manœuvre pour que son gland soit toujours entre le bord du trou et à moins de dix centimètres à l’intérieur. Les parois de mon rectum s’en trouvent massés par le fameux gland et chaque fois qu’il passe mon sphincter, à la sortie ou en me pénétrant, j’ai des frissons qui parcourt tout mon trou. Le plus délirant c’est qu’en même temps il me masse la prostate ! C’est si bon que je fais tout pour qu’il me pénètre plus à fond. Mais ce salaud contrôle tout et me bloc pour que je ne puisse satisfaire mon envie grandissant. — Non ma salope. Je sais que tu meurs d’envie de te faire défoncer comme une pute que tu es. Mais je veux que ton envie devienne ta seule pensée jusqu’à me supplier. Il est vrai qu’avec ce traitement je me mets à bander dur. Alors je me la prends à pleine main et, tout en regardant Marc droit dans les yeux je me masturbe. -Aïe ! Je viens de recevoir une claque sur la fesse… Je suis sûre que les cinq doigts sont imprimés sur ma peau. Voir même la main entière. -Non ! Tu ne te branle pas tant que je ne te l’autorise pas. Au bout de quelques minutes : — Didier… Je t’en supplie, défonce ...