1. Rencontre au sexe shop (2)


    Datte: 22/03/2018, Catégories: Transexuels

    ... moi le cul. — Tu le voudrais bien, hein salope ! — Oh oui… Ta salope te supplie. — Alors suce mon copain. unxurrw Je suis dans un état d’excitation tel que je suis prêt à exécuter toutes leurs demandes. Marc me sourit et me tend sa pine. — Vas-y, suce la bien pour la préparer à t’enculer comme une chienne en chaleur que tu es. Je descends mon visage jusqu’à sa queue. Elle a pris du volume mais elle est restée molle. Marc la fait se promener devant mon visage et m’empêche de la saisir en basculant son bassin de gauche à droite — Alors pouffiace tu la gobe ? Ne me dis pas qu’elle te déplait ? — Oh que si, elle me plait… Je la veux. Je t’en supplie, je la veux. — Tu la veux ? Alors qu’attends-tu ? Je lâche un accoudoir pour saisir cette queue de toutes mes envies. Mais je perds l’équilibre et plonge tête première sur une cuisse de Marc. La sentence ne se fait pas attendre. Je reçois deux claques des plus sonores sur chaque fesse et une baffe sur la joue. C’en est trop… Didier continu de me pistonner toujours à petits coups de queue. J’ai envie de la bite de Marc que je n’arrive pas à saisir. Alors je les supplie pour qu’ils me défoncent le cul et la bouche. — Bon, ok, suce moi la queue comme une putain que tu es. Il ...
    ... me laisse la prendre en bouche et là, je la suce comme si ma vie en dépendait. Elle ne met pas longtemps pour devenir raide et il recommence à me baiser la bouche. Pendant ce temps Didier ne semble plus pouvoir se retenir et il m’encule par d’amples mouvements du bassin et va jusqu’à butter au fond de mon rectum. Non sans cesser de m’insulter. — Salope… Grosse pute de chienne en chaleur… Garage à jus… Je vais te la péter ta rondelle à bite… Et moi, à chacune de ses insultes quand c’est possible je lui réponds. Oh oui je suis ta salope… Bien sûre Didier je suis ta pute et je suis en chaleur comme une chienne… Oh ouuiiii Péééttteee moooaaa la rondeeelllee. Je sens une onde de bonheur qui me parcourt le bas du dos. Puis, sans crier gare Il me la plante tout au fond. Je sens sa queue vibrer et il lance un râle rauque et long comme un jour sans pain. Il recule et me replante aussitôt. Je comprends qu’il se vide au fond de mon boyau. Le voilà qu’il sort, retire le préservatif et m’envoie les deux ou trois dernières giclées dans ma raie fessière. — Marc je crois que tu as déniché une belle salope. Je te jure qu’elle a un cul aussi gourmand qu’une pute qui n’aurait pas mangé depuis huit jours. Maintenant elle est à toi. 
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