L'auberge espagnole
Datte: 22/03/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
Collègues / Travail
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
... nettoyer la tache de vin. Quand Enzo revient dans sa position initiale pour me tendre les serviettes, je relève la tête et mon buste ; je suis alors face à lui, mon décolleté ne cachant absolument plus rien de ma poitrine. Il déglutit, les yeux sur mes seins. Il faut dire aussi que j’aime la lingerie et que je n’ai que des sous-vêtements sexy. Là, je porte un ensemble blanc en dentelle transparente, très chic, très sexy surtout. La tête et le buste ainsi relevés pour le regarder accentuent sans le vouloir ma cambrure. Juan lance un sifflement. Il faut dire que d’où il est placé, il ne doit rien manquer de mon anatomie, ma jupe étant trop courte pour cacher quoi que ce soit dans cette position. Alors je me rassois sur le lit, le rouge aux joues. Les garçons se jettent un regard complice. Enzo glisse sa main sous mes fesses. Dans un réflexe, je tente de me lever mais en même temps Juan a posé une main ferme sur ma cuisse qui m’immobilise. Je me retourne vivement pour le repousser ; mais avant que j’aie pu faire le moindre mouvement, il a glissé son autre main dans mon cou et m’attire vers sa bouche sans que je puisse lui résister. Je me sens prise au piège, et cela m’excite terriblement. Nous nous embrassons à pleine bouche. Enzo m’attire à son tour vers ses lèvres. Juan profite que je me suis tournée pour passer ses mains sous mon tee-shirt et ainsi accéder à mes seins. En voyant cela, Enzo m’aide à enlever complètement mon tee-shirt. Après m’avoir retiré mon haut, ils ...
... enlèvent leur chemise avant de continuer à me caresser. Je sens leurs mains sur mes fesses, mes seins, mon ventre, mes cuisses. Ils m’embrassent et me lèchent, je suis sur une autre planète. M’abandonnant, ils se relèvent comme un seul homme. Je comprends ce qu’ils veulent. Toujours assise sur le lit, je me penche vers Enzo, je fais descendre son pantalon et son boxer. Son sexe se dresse face à moi droit, long et lisse. Je prends son sexe dans ma bouche, couvre son gland de ma langue ; ses mains emprisonnent ma tête et, d’une traction, amènent ma bouche vers sa verge. Nulle violence. Juste un souhait formulé. Je le prends entièrement dans ma bouche ; ma main caresse ses bourses, je le suce frénétiquement puis je me tourne pour recommencer mon petit manège avec Juan. Mais celui-ci ne m’a pas attendue et je me retrouve nez à nez avec une spectaculaire queue. Elle est énorme, bien au-delà de tout ce que j’ai connu. Un regard à Juan suffit. Il s’avance d’un pas vers moi. Je tends la main vers lui, ou plutôt vers son sexe. Je retrouve les sensations que j’aime à tenir le sexe d’un homme : la douceur de la peau, la chaleur qui en émane, cette impression de poids, de densité… Je renforce ma prise ; mes doigts peinent à en faire le tour. Je la sens complètement dure. Je suis émerveillée par la taille et la forme de cet instrument. La hampe parfaitement cylindrique et ce gland décalotté pareil à une fraise gourmande. J’avance la bouche vers ce gros bâton d’amour. Juan avance encore un peu ...