L'auberge espagnole
Datte: 22/03/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
Collègues / Travail
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
... puis s’aventure vers les couilles sans cesser de lécher le beau morceau de chair. Je n’ai que rarement pris autant de plaisir à prodiguer une fellation, même si je sais que mes mouvements doivent être saccadés et désordonnés à cause de l’autre mufle entre mes cuisses. Malgré tout, au moment où je demande grâce, Enzo me demande d’arrêter aussi. Après une courte pause, mes amants d’un soir échangent leur place. Enzo se jette sur ma chatte trempée et moi sur l’incroyable mandrin de Juan. Je joue avec, ma langue explore chaque centimètre, je titille le méat, descends vers les bourses bien gonflées. Avec mes lèvres, j’essaie de les gober mais la position ne s’y prête pas. Le mandrin est beau, doux, délicat, et j’aime cette odeur d’homme qui en émane. Enzo ne reste pas inactif : ses doigts prennent possession de ma chatte et j’ai un frisson, délicieux prélude au plaisir, lorsque sa langue découvre mon clito. Il sait comment jouer de la langue et de la bouche pour me caresser. C’est si bon que j’oublie un instant de m’occuper de la bite de Juan. Il me rappelle à l’ordre avec sa main sur ma tête et exerce une douce pression de rappel vers l’objet du débat. La langue d’Enzo glisse de mon sexe à mon anus. Il m’administre une magistrale feuille de rose ; sa langue, tel un sexe, pénètre ma rondelle. Sa langue force l’étroit passage, revient dans mon sexe pour mieux retourner vers mon anus. Il se régale, moi aussi. Mon plaisir ne m’empêche pas de sucer la verge avec application et ...
... gourmandise. Je dois défendre la réputation des Françaises, championnes de l’érotisme et de la sexualité. Mon Espagnol apprécie et m’encourage dans sa langue. Tandis que la mienne joue une farandole autour de sa queue et de ses bourses gonflées de désir. Enzo regarde et Juan, sans un mot, arrête ses caresses buccales et me fait me lever. Je suis debout ; on s’embrasse, ma bouche passe de celle de Juan à celle d’Enzo, nos corps bouillants les uns contre les autres. Debout dans cette chambre d’hôtel, nos corps vibrent à chaque mouvement, à chaque caresse. Je sens leurs membres vigoureux m’encercler ; mon corps nu est entre ces deux éphèbes, ne demandant qu’à vibrer sous leurs coups de boutoir. — Je n’en peux plus, j’ai envie de vos bites : prenez-moi par la chatte et le cul en même temps. Enzo me prend la main et m’entraîne à sa suite sur le lit. Je suis au-dessus de son membre ; je sens les gouttes du méat se répandre sur les grandes lèvres de mon sexe pourtant déjà trempées. Juan se place derrière moi ; son sexe est collé à mes fesses ; je sens ses mains sur mes seins et les mains d’Enzo sur mes hanches. Je me laisse tomber sur son sexe, et au moment où je le sens rentrer, je sens les doigts de Juan contre mon anus. Il introduit trois doigts dans ma rosette dilatée, cherchant à toucher à travers sa fine membrane interne le sexe en moi. L’effet est immédiat. L’orgasme me transperce le ventre, les vagues de plaisir montent en moi, telle une houle puissante. Mes bras se dérobent. Je me ...