1. L'auberge espagnole


    Datte: 22/03/2018, Catégories: fh, fhhh, Collègues / Travail intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo,

    ... fait effet : son mandrin se gonfle et prend une dimension toujours surprenante. Mes lèvres retrouvent la queue maintenant bien dressée. Je joue avec, ma langue explore chaque centimètre ; je titille le méat, descends vers les bourses gonflées. Avec mes lèvres, j’essaie de les gober ; j’aime cette odeur de sperme qui perdure. Enzo ne reste pas inactif ; ses mains courent sur mon corps. Sa main droite découvre mon clito tandis qu’avec la gauche il introduit deux doigts dans mon anus dilaté. C’est si bon j’en ai un frisson. Tout à ma fellation, je n’entends pas les autres entrer dans la chambre. Ils approchent de mon visage, leur sexe dressé réclamant à leur tour ma bouche. Je n’ai jamais vu autant de bites dévouées à mon plaisir. Qu’elles sont longues, qu’elles sont soyeuses, qu’elles sont belles ! Je prends celle de Stephen en main, le branle énergiquement ; je glisse ma main sous ses testicules, les serre doucement, attire le gland vers ma bouche. Je suce maintenant ce nouveau sexe de toute mon ardeur. Les deux autres en veulent aussi. Ils s’approchent plus près de moi. Je prends le mandrin de Juan et Dieter dans chaque main, les branlant énergiquement. J’essaie de visualiser la scène, moi à genoux devant trois hommes bandés, en branlant deux et suçant le troisième ; même dans mes fantasmes les plus fous, je n’allais pas aussi loin. Et c’est sans compter sur le quatrième larron qui me pénètre de ses doigts. Je suis au comble du bonheur sexuel. Enzo n’a pas trop de cinq ...
    ... doigts pour visiter à la fois mon vagin, ma rondelle et mon clito, qu’il cerne d’un mouvement circulaire et léger qui me rend folle de mouille et de désir. Ma bouche délaisse un instant la bite de Stephen pour prononcer : — Viens dans mon cul, vite, viens ! Il ne se le fait pas dire deux fois. Il écarte bien mes fesses charnues et entre sans effort. Il marque une petite pause dans le vestibule puis s’enfonce jusqu’à la garde, me sentant gémir d’impatience. Mais dans ma position, la pénétration n’est pas facile. Je stoppe mes gâteries et emmène mes amants d’un jour vers le lit. Dieter s’allonge sur le dos, me prend par la main, m’attire vers le lit et m’oblige à m’asseoir sur sa queue. Elle glisse dans ma chatte et me remplit de sa chair chaude, ardente et vivante. Enzo se rapproche derrière moi, sa queue s’immisce dans mon anus. Le gland d’abord ouvre le chemin, et je sens que mon anneau cède progressivement. Je me cambre autant que possible en attirant Enzo qui achève de me remplir. Oui ! Il est entré ! Non ! Ils sont entrés ! Je me sens comme envahie, occupée, dilatée, déformée par ces deux sexes d’hommes. J’ai l’impression que c’est un seul, mais énorme mandrin qui me possède. Je suis en train de perdre pied. Je lâche prise. Je suis totalement abandonnée aux plaisirs lubriques de mes quatre compagnons. Dieter et Enzo commencent leur va-et-vient ; nous voilà partis pour une valse à trois temps dans un mouvement bien réglé. Je suis une turbine besognée par deux pistons bien ...
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