1. A trois : fera, fera pas ?


    Datte: 23/03/2018, Catégories: h, ff, ffh, fbi, couple, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme fgode, ecriv_f,

    ... frotte contre la table froide de la cuisine. Lydia s’agenouille devant la belle qui ouvre alors tout grand ses jambes, laissant apparaître un sexe entièrement épilé, lisse et blanc à l’extérieur, trempé et brun à l’intérieur. Lydia, terriblement attirée, approche peu à peu sa bouche de ce sexe si étranger et si familier. Elle plonge d’abord sa langue, le plus profondément possible. Elle hume et respire l’odeur mi-âpre mi-sucrée, elle prend connaissance du goût, elle inspecte l’aspect, se familiarise avec les sécrétions. Elle joue très longtemps avec le clitoris érigé et rouge, elle le fait tourner autour de sa langue, l’aspire et le rejette en salivant beaucoup. Ce traitement novice et doux ne laisse pas la belle jeune fille indifférente. Camille se cambre, presse son anus contre la table en ramenant les talons près de ses fesses. Elle opère un va-et-vient presque imperceptible, plonge ses mains dans les cheveux blonds de Lydia et finit par jouir dans sa bouche. Quelques minutes plus tard, les deux femmes sont toutes les deux sous la douche, piaillent et rient comme deux vieilles amies, se savonnent l’une l’autre, se malaxent les seins, le ventre, les fesses. La bouteille de vin est débouchée et deux verres servis sont posés près du lavabo. Une fois sèches et habillées, au moins un peu, elles regagnent le salon avec chacune leur verre et se blottissent l’une contre l’autre sur la canapé blanc. — Jamais je n’aurais cru que ce serait si doux et si agréable.— Quoi ?— L’amour ...
    ... avec une autre femme.— Oui, c’est vraiment agréable. Mais je n’ai pas d’outil de comparaison. Il faudrait pour cela que je fasse l’amour avec un homme !— Et ton ami, Patrick, tu ne lui as jamais demandé ?— Patrick est homo !— Oui, mais pour le moment, toi aussi. Vous pourriez vous rendre ce « service » mutuellement.— Pour être aussi timides et déconcertés l’un que l’autre, non merci ! Non, ce que je voudrais pour une première fois, c’est un homme sûr de lui, dans la force de l’âge, entreprenant et rassurant à la fois, viril et tout et tout…— Samuel.— Quoi ?— Mon mari correspond aux qualités énumérées…— Oui, je me doute que pour être le mari d’une femme comme toi, il faut être tout cela. C’est pour cela que je t’ai demandé de me le présenter la dernière fois. Tu lui en as parlé ?— Non. Enfin, je lui ai parlé de toi, mais pas de ta demande.— C’est pourtant l’aspect qu’il aurait préféré, je crois ! C’est toi qui es récalcitrante ? Tu ne partages pas ?— Ce n’est pas ça, en fait, je n’en sais rien. Je lui en parlerai, on verra ce qu’il en pense.— Appelle-le, on verra plus vite.— Maintenant ?— Oui. Pourquoi pas ?— Il est en réunion de travail.— À vingt-deux heures ?— Comment ? Il est déjà vingt-deux heures ? C’est une blague ?— Non.— Ok, je l’appelle, il doit s’inquiéter. Munie de son téléphone portable, Lydia s’isole dans la cuisine et s’assoit sur la table. — Allo, Samuel ?… Oui, c’est moi. Excuse-moi, je n’ai pas vu l’heure… Ah, tu es déjà rentré ?… Euh, je suis chez Camille… Tu te ...
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