Foutu article 17...
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Oral
fsodo,
pastiche,
... suit mon regard et me lance : — Il te plaît, mon tatouage ? En général, les copains de mon âge, ils adorent. Mais bon, toi, t’es plus tout à fait dans la même tranche. Gentille, avec ça ! — Même à mon âge, on peut avoir les idées larges, tu sais. Oui, j’aime bien ton tatouage, mais uniquement comme cerise sur le gâteau. Ça y est, je me suis lâché. Espérons qu’elle connaisse pas l’article 17… — Eh bien, s’il te plaît, tu peux venir le voir de plus près si tu veux. « Mais elle m’aguiche, la mignonnette… » J’obtempère illico et me retrouve accroupi devant la demoiselle qui s’appuie nonchalamment sur l’une des photocopieuses. Il est vraiment bien fait, son tatouage, il a du coûter bonbon. — Y fait vraiment chaud ici. Attends, je vais fermer la porte à clé et on pourra se mettre plus à l’aise… susurre-t-elle. C’est étrange ; tout à coup, un baobab vient de pousser dans mon pantalon. Après avoir fermé la porte, elle revient vers moi, et voilà-t-il pas qu’elle se colle à moi, noue ses bras à mon cou et se met à m’humecter sauvagement les amygdales. Si je m’attendais à ça ! J’en reste tout ébaubi. Ne voulant pas être en reste, j’envoie ma main en éclaireuse vers sa minijupe et passe dessous : mince, elle a pas de culotte ! Elle avait donc tout prémédité. — T’es venue au bureau sans culotte ? T’es gonflée, avec ta mini.— Mais non, je l’ai enlevée tout à l’heure pendant que tu finissais ta présentation. D’ailleurs, je l’ai mise dans la poche de ta veste, ça te fera un souvenir… Et ...
... elle en profite pour se décoller de moi et se débarrasser en deux temps trois mouvements du bustier et de la minijupe qui volent sur les imprimantes. Nue ! Elle est complètement nue, voire même absolument nue car la donzelle est intégralement épilée. Entre son nombril et le renflement de ses grandes lèvres où se niche son clitoris, la peau est totalement glabre et, comme je le vérifie immédiatement avec ma main, particulièrement soyeuse. Par contre, un peu plus bas, c’est une véritable fontaine. Je me désape aussi vite que possible (mais les fringues de mec, c’est pas aussi facile à enlever, y’a des tas de boutons) et je finis par me retrouver aussi à poil qu’elle. Un doute m’étreint — T’as bien fermé la porte ?— Mais oui, t’inquiète. Et puis de toute façon, à cette heure y’a personne. Je sais, je viens souvent ici le vendredi soir. Moi qui croyais être l’unique, l’exception de sa vie chaste de jeune fille pure, je tombe de haut. — Ah bon ? Avec qui ?— Seulement avec d’autres stagiaires. T’es le premier mec de la boîte avec lequel je viens ici. Me voilà soulagé : au moins, je suis sûr de ne pas être passé après Patrick, le don Juan de service… — Assieds-toi sur la photocopieuse, je vais te sucer. Docile, je m’assois et elle entreprend une fellation qui m’en dit long sur l’étendue de son expérience. Elle a à peine commencé que déjà je suis satellisé et, ébullition oblige, je lui dis : — Doucement, c’est pas dans ta bouche que je veux finir. Y’a d’autres possibilités qui m’ont ...