1. Les aventures d'un libertin : un couple extraordinaire


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fhh, extraoffre, fépilée, vidéox, Masturbation Oral fgode, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe confession, totalsexe,

    ... Regards étonnés de mes amis, genre « oh punaise, l’extra-terrestre, lui ! ». D’un haussement d’épaules, je leur dis« Ben quoi, je ne raconte pas que des conneries ! » Il y eut une pause de plusieurs mois, car Sofie avait fini par avoir les implants dont elle rêvait tant. Elle était ravie de sa nouvelle poitrine ; mais l’intervention lui faisait mal, même si tout s’était bien passé. Elle évita donc toute rencontre car, se connaissant, elle aurait eu envie de coquiner. Jean, d’ailleurs, était mis à la diète forcée et je reçus un mail de sa part dans lequel il me faisait part de sa compréhension en ce qui concernait la situation que je vivais à la maison. Finalement, Sofie se sentit mieux et leur vie normale reprit, y compris les rencontres libertines. Je n’étais pas le seul homme que ce couple voyait régulièrement, mais je faisais partie des deux ou trois « chéris ». Nous avions établi une véritable amitié basée sur la confiance et la complicité. Ils me parlèrent de leur intention de se marier l’année suivante, et d’organiser leur mariage en deux étapes : la première, « officielle », avec les familles, collègues, amis. Une version « moldue », quoi. Pour rappel ou pour ceux qui n’ont pas eu l’occasion de lire mes textes précédents (mais qu’attendez-vous, m’enfin ? Allez, hop, hop, on cherche !), les libertins appellent les non-libertins les « Moldus », en référence à Harry Potter. Les non-sorciers y sont appelés Moldus ; ils ne sont pas conscients de la magie, et (je refais la ...
    ... même blague, tiens !) ils ne connaissent même pas la voie 9 ¾ (re-pffffffffff). La seconde partie de leur soirée de mariage serait libertine : cela promettait une sacrée partouze ! Et d’ores et déjà, j’étais invité aux deux fêtes, si je pouvais venir. Ils me parlèrent aussi de l’envie de Sofie (et donc celle de Jean,« ses envies sont mes envies ») de jouer dans des films pornos. Ils cherchaient un vrai producteur, pas un de ces nombreux arnaqueurs qui promettent monts et merveilles en espérant simplement tirer leur coup. Ils avaient failli faire les frais d’un gars très crédible, mais au dernier moment ils eurent des soupçons et la scène ne fut pas tournée. Par contre, ils furent mis en contact avec un acteur qui avait quelques connaissances sérieuses dans le milieu. Bien entendu, il tenait d’abord à tester « la marchandise » (rassurez-vous, il n’osa pas utiliser ce terme) ; et donc ils prirent rendez-vous avec cet acteur et avec son épouse, actrice également à ses heures de loisirs, dans un autre club qui organisait une grande fête pour son ouverture officielle. Jean me demanda de les accompagner, non pas pour mon physique, car je n’ai rien d’un gorille (ah si, juste un peu les poils sur la poitrine), mais parce qu’elle se sentait rassurée avec le complice de leur couple. Ce club était une discothèque qui venait de déposer le bilan. Tout le matériel était encore sur place : ponts, jeux de lumières, etc. En fait, ce club devint vite une « discothèque libertine » car la place ...
«12...121314...20»