1. Les aventures d'un libertin : un couple extraordinaire


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fhh, extraoffre, fépilée, vidéox, Masturbation Oral fgode, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe confession, totalsexe,

    ... réservée aux coquineries ne comprenait que la mezzanine, qu’on avait divisée en zones séparées par des tentures en voile. Leur accès n’était pas du tout privatif, les ébats se faisant à deux pas d’autres convives montés là pour observer autant les ébats que les gens se trémoussant sur la piste, en-dessous. Et ces gens étaient vraiment dérangeants de par leurs commentaires, qu’ils énonçaient fort à cause de la musique assourdissante et que nous, qui essayions de coquiner, entendions parfaitement. Donc, pendant que l’acteur essayait Sofie dans toutes les positions (et dans tous les orifices : pas de porno sans sodo, c’est bien connu), Jean et moi nous nous énervions à éloigner certains opportuns ; mais nous ne pouvions rien contre les commentaires à la con, sauf à déclencher une bagarre que nous voulions éviter. Lorsque Sofie et l’acteur eurent tant bien que mal fini leur « casting », nous étions tous tellement énervés que nous décidâmes de quitter cet endroit qui ne nous convenait pas. Un jour d’été, je reçus un coup de fil. — Tiens, « Papouille », on est en camping pas loin de chez toi. Tu viens nous rejoindre pour un barbèque ? Ils habitaient une grande ville industrielle ; moi, j’avais la chance d’habiter la verte campagne, mais assez loin de chez eux. Alors, pouvoir les rencontrer tout près de chez moi, pensez que je n’allais pas rater l’occasion ! Une heure plus tard, congé pris pour l’après-midi, je les rejoignis. En fait, ils n’étaient pas dans un camping à proprement ...
    ... parler, mais des amis leur avaient prêté un terrain en bordure d’un petit village derrière leur maison où ils avaient monté une grande tente ; ils étaient isolés et tranquilles. Quand je vis leur emplacement, je compris que nous ne resterions pas sages, miam ! En effet, bien que je vous aie relaté quelques-unes de nos rencontres « classées X », je ne vous ai pas parlé de nos rencontres « normales », où rien en se passait ; simplement le plaisir de se retrouver entre amis. Je me doute bien que ce ne sont pas les histoires« no sex » qui vous intéressent, bande de petits cochons ! Je vous rassure : j’ai ma carte de membre du club des cochons. J’en suis même membre d’honneur, na ! Le feu était déjà chaud, mes hôtes aussi. Les saucisses cuisaient, la mienne aussi. Sofie était vêtue simplement d’un short tellement moulant que sa fente s’imprimait dans le fin tissu élastique. Et très vite, le tissu commença à montrer des marques qui n’étaient pas dues à la transpiration… Le repas fut vite expédié ; le rosé bien frais, le soleil, l’ambiance bucolique, notre complicité, tout cela fit que, tout naturellement, nous nous retrouvâmes très vite nus et occupés à nous donner mutuellement du plaisir. À un moment, Sofie s’adressa à moi : — Mon Papouille, je sais combien tu aimes la sodomie ; je sais que tu as assisté à ma sodomie avec XXX (l’acteur X). Et moi, si je veux faire du porno, je ne peux plus réserver ça à Jean. On en a discuté, et on est d’accord : je n’interdis plus mes fesses à ...
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