Les aventures d'un libertin : un couple extraordinaire - Histoires de Sexe

Les aventures d'un libertin : un couple extraordinaire

... tous nos invités. Alors j’ai décidé que toi, tu seras le premier à en profiter, si tu le veux. Waouh, quelle surprise ! Rappelez-vous, plus tôt, j’avais dit que je comptais bien les convaincre de me laisser accéder à cet orifice réservé. Ben, je n’avais pas à les convaincre ; ils l’avaient fait eux-mêmes. Et c’est à moi qu’on demandait si je voulais bien ? — Vous en êtes tous les deux bien sûrs ? demandai-je, un départ de jeu germant dans ma tête.— Oui, me répondirent-ils en cœur, Jean ajoutant : tu es notre vrai complice, notre pote ; ça nous fait plaisir que tu puisses la sodomiser le premier. Enfin, en-dehors de moi et de XXX.— J’accepte avec plaisir. Mais à deux conditions : Ils n’en revenaient pas… Poser des conditions à une telle proposition ? — Dis toujours…— On se la joue film porno ! De un : j’ai mon nouvel appareil photo numérique qu’on peut utiliser comme caméra vidéo, et une nouvelle carte mémoire. D’accord si on filme l’action. Comme elle voulait s’essayer au X, je vis un éclair d’intérêt fuser dans leurs yeux. — OK, si on peut avoir une copie du film, on a notre ordi portable. Et la deuxième condition ?— Que Sofie se comporte comme l’actrice qu’elle veut devenir : je veux la voir demander, face caméra, qu’on l’encule, et ensuite qu’elle s’exprime avec les mots crus comme il se doit. Entraîne-toi à devenir une vraie star du X ; et les stars, elles s’expriment : ça excite les hommes !— Mec, va chercher ta caméra. C’est tout bon : on y va ! Aussitôt dit, aussitôt ...

... fait. Je convins avec Jean que c’est lui qui filmerait pendant que Sofie et moi baiserions, et qu’il éviterait mon visage. Il devait aussi l’encourager et la motiver si elle ne s’exprimait pas assez. La scène commença très classiquement, Sofie à quatre pattes, moi assis devant elle. Elle commença par une fellation bien baveuse. Elle semblait avoir oublié notre accord concernant le fait de s’exprimer ; Jean le lui rappela gentiment. — Voilà une belle bite prête pour te prendre… Tu la veux où ? Dans la chatte ou dans le cul ? Elle se rappela notre accord, et c’est en me regardant droit dans les yeux, filmée en gros plan par son amour, quelle me demanda : — Oh oui, mon chéri, viens me la mettre dans le cul ! Viens m’enculer ! Elle me couvrit d’un préservatif de sa manière si particulière et agréable et, au moment où j’allais me relever pour me placer derrière elle, elle me saisit la nuque d’une main et me roula un patin somptueux. Au moment où nos lèvres se séparèrent, elle me chuchota : — Ça, tu seras le seul de nos amis à y avoir droit ! Ravi, je me relevai, passai derrière elle (Jean la contourna par l’autre côté pour pouvoir filmer la sodo en gros plan) et je m’agenouillai derrière elle. Je pris mon mât d’une main, et de l’autre je lui écartai les fesses pour que moi-même et la caméra ayons une belle vue sur son œillet déjà prêt pour mon entrée. Pendant que j’étais allé chercher la caméra dans ma voiture, elle s’était déjà lubrifié l’anus, car on ne voit jamais une actrice se ...