1. C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée. (3)


    Datte: 24/03/2018, Catégories: Hétéro

    Jeudi matin, 7h30, le réveil sonne. On est à l’hôtel avec ma jeune copine, et on a passé une nuit bien agitée, entrecoupée de petits sommes (elle m’a vidé trois fois les couilles et je lui ai fait déverser des flots de mouille). On se prépare pour prendre le petit déjeuner, reprendre des forces avant une dernière baise. On a chacun notre train en début d’après-midi et on peut donc garder la chambre jusqu’à 11 heures, dernier délai. On est de retour dans la chambre et il nous reste deux bonnes heures pour s’aimer sans limites autant dans les actes que dans les mots: je veux la traiter comme ma chienne, mais aussi être son chien, que l’on se soumette l’un à l’autre à tour de rôle. On fornique comme des bêtes, elle est mon objet et moi le sien, j’use et j’abuse à souhait de ses trois orifices, elle se sert à sa guise de mon sexe et de mes deux trous. Le temps passe et on va devoir bientôt terminer. On s’offre un 69 goulu, puis on va finir dans le bac à douche. Je n’ai pas joui, n’ai pas débandé, et j’ai les couilles archi pleines ainsi que la vessie. J’aime les plans pisse et lui ai proposé que l’on s’en fasse un. Elle n’a jamais essayé, mais a accepté ma proposition; du coup on n’a pas encore uriné depuis la veille, et il est temps que l’on se soulage. On est dans le bac et elle se place devant moi: — Penche toi putain, et écarte tes fesses de salope que je te farcisse. — Oh oui, mets me la, encule moi, je la veux ta grosse bite. — T’inquiète, tu vas l’avoir, et pas que ma ...
    ... queue, tu vas avoir mon sperme aussi. — Oh oui, il n’en a jamais pris mon cul. Fais lui goûter ton foutre, vide bien tes couilles jusqu’à la dernière goutte, donne lui des litres de ton jus, il meurt de soif. — Des litres peut-être pas, mais crois moi qu’il va bien prendre. Et s’il a encore soif j’ai ma vessie qui n’en peut plus de se retenir. — Salaud, salaud, tu m’excites. Inonde moi, je suis ta salope. — Oui, ma belle et jeune salope, ma pute, mon vide couilles. — Oui, ta chienne, ton sac à foutre, ton urinoir, ta décharge. Tout en discutant je me suis soulagé et j’ai encore ma queue en elle, qui ramollit lentement. Mon urine s’écoule le long de ses jambes mais pas mon sperme, trop épais pour s’infiltrer. Plus rien ne fuit et je retire mon sexe. Elle écarte ses fesses, je place ma main à la sortie de son orifice béant, et elle recrache toute ma semence. Elle se retourne, s’agenouille, et vient manger dans ma main: — Bouffe, putain de cochonne, régale toi salope, savoure bien mon offrande, et ensuite tu me nettoieras la queue. Elle s’exécute consciencieusement, finit son boulot de pute avec application. Elle se relève, on se roule une pelle, puis je m’agenouille, les miches sur les talons. Elle n’a pas encore pissé, et va le faire avec un grand soulagement. Son jet puissant, chaud et parfumé, s’écrase sur mon torse; je me caresse pour l’étaler sur tout mon corps, m’en imprégner. L’odeur s’atténue, je fixe ma partenaire dans les yeux, et ouvre grand la bouche. Elle relève son ...
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