C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée. (3)
Datte: 24/03/2018,
Catégories:
Hétéro
... jet, et le dirige au fond de ma gorge; je manque m’étrangler mais parviens à me ressaisir pour avaler. Elle stoppe net: — Putain, je n’y crois pas, tu es vraiment dégueulasse. Tu l’aimes ma pisse? — Oui, elle est bonne, sers moi à boire. — Ok, ouvre ta gueule. Elle se remet à uriner, doucement, et stoppe lorsque j’ai la bouche pleine. Elle me demande d’avaler, m’insulte, me dis que je l’excite trop. Le jeu lui plait et elle va un peu plus loin: elle me saisit par les cheveux et me plaque contre elle, le nez écrasé sur son bas ventre, mes lèvres soudées au siennes, ma bouche ouverte s’adaptant parfaitement à sa choune béante. Elle lâche tout, sans retenue, se déverse direct dans ma gorge: — Oh! Oh que c’est bon de se soulager dans un mec. Tu es un vrai chien, un putain d’enculé de sa race, boit salaud, boit ma pisse et dis moi comment elle est bonne... Je m’efforce à tout prendre, tout engloutir, jusqu’à vider ses réserves. Elle me relâche, s’excuse d’avoir été aussi vulgaire, je lui dis que c’était très bien et la lèche pour lui prouver que je ne lui en veux nullement. Elle mouille et m’offre un ultime orgasme fulgurant et abondant, suivi d’un dernier petit pipi. Je savoure tout, c’est fini. On se douche, on s’habille, on quitte l’hôtel. hvdhkkbx On se dirige vers la gare, discute de nos horaires et destinations. On est tous les deux du sud-ouest et à moins d’une heure près on aurait pu prendre le même train. Il nous vient alors l’idée de changer nos billets pour ...
... voyager ensemble, puis une idée plus coquine pour voyager de nuit. On se dirige vers le guichet et on réserve un wagon-lit pour deux, sous l’œil interrogatif de notre interlocutrice. A midi l’affaire est faite, notre train est à vingt-deux heures, et on pose nos affaires en consigne pour mieux profiter de toutes ces heures devant nous. On déjeune vite fait au snack de la gare et on prend le métro pour voir la Tour Eiffel; elle ne l’avait jamais vue et est toute heureuse, comme une gamine. On joue les touristes, on se tient bien serré l’un contre l’autre, on s’embrasse, se moquant du regard des passants. On se retrouve dans un coin isolé d’un parc et son instinct de chatte en chaleur reprend le dessus. Elle m’attire derrière un arbre multi-centenaire: — Baise moi, j’ai trop envie. — Ici! Maintenant! Tu es folle! — Oui, folle de ta grosse queue. S’il te plait, j’ai la chatte en feu. — J’aimerais trop te faire plaisir ma puce, mais soit raisonnable, ce n’est pas possible. — Et pourquoi? Tu ne baises que dans un lit, papy? — Non, ma petite chérie. Mais ici c’est trop risqué, imagine que l’on nous découvre à poil en train de copuler! — Soit cool, il n’y a personne. Mais si tu préfères je peux juste te tailler une bonne pipe! — Tu me donnes envie moi aussi, petite salope, mais il ne faut pas, pas ici. — Tu connais un autre endroit? — J’ai bien une idée, mais je ne suis pas sûr que ça te plaise. — N’importe où, je m’en fous, pourvu que tu m’offres ta bite et tes couilles. A suivre...