Boys (3)
Datte: 24/03/2018,
Catégories:
Gay
... plus facilement, même si mon collier est toujours trop serré à mon cou. Allongé sur le dos, je sens mes fesses très douloureuses, je passe la main dessus et je suis effaré de constater qu’elles sont complètement gondolées, et que la sensation de toucher est très bizarre. J’ai des croûtes sur les cuisses et les mollets. Mais c’est surtout mon sexe qui me lance, les couilles sont endolories et la peau me brûle partout. Mon Maître approche avec la clé que j’ai apportée, et m’ouvre la gaine cloutée dans laquelle je suis enfermée depuis plus de 24 heures, moi qui ne la portais pas plus d’une heure. Chacune des pointes a perforé ma peau en plusieurs endroits et est bien incrustée. Maître doit forcer pour la décoller, et je hurle de douleur, comme s’il m’arrachait la peau, il rit. Je ne fais rien pour me défendre. La gaine est remplie de sperme, de pisse, de sang dans une drôle de couleur. Avec il saisit l’étron que j’ai perdu tout à l’heure et l’écrase avec les pointes. Il m’ordonne de lécher et nettoyer la gaine, qu’elle soit comme neuve. Je ne réfléchis pas, je ne veux pas réfléchir, je la lèche doucement, me déchirant le bout de la langue si sensible, rajoutant un peu de sang à celui déjà présent. Le goût est indéfinissable, je m’applique, comme si ma vie en dépendait, mais il me faut bien 10 minutes pour arriver au résultat qu’il souhaite. Je saigne de la langue et des gencives, quelle curieuse torture, cela ne m’excite pas du tout, mais je ne suis pas trop en état de ...
... penser, je suis partagé entre l’envie de baiser les pieds de mon Maître et celle de m’enfuir de cet enfer. Je choisis la première option et me met à 4 pattes pour lécher ses chaussures. Il les soulève et me sentant encore plus misérable, je lèche ses semelles sales. Il les essuie sur mon visage, avant de me gifler longuement. Je suis sonné. Mon Maître me remet le bâillon god au fond de la gorge, tout de suite je sens l’angoisse monter. Il me fait rentrer dans une cage à 4 pattes, elle est un peu juste pour ma taille, je dois rentrer ma tête entre les bras pour y tenir dans cette position. J’ai les croisillons sous les genoux, c’est douloureux. Mes poignets sont cadenassés aux deux coins de la cage, tout comme mes chevilles aux deux autres coins. Je ne peux pas trop bouger. Cela ne suffit pas à mon tortionnaire qui m’écarte les cuisses pour les attacher à la cage avec des lanières de cuir. Mes jambes sont écartées au maximum. Un ceinture vient parachever mon immobilisation passant par le haut de la cage et me comprimant le ventre aussi fort que mon Maître peut tirer, entravant un peu plus si besoin était ma respiration. Je suis super mal, mes muscles sont mis à rude épreuve, je voudrais implorer mon Maître mais je ne peux émettre qu’un faible bruit. J’ai peur de ne pas arriver à respirer et de m’étouffer ainsi, c’est sur, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Maître ouvre un trappe à l’arrière de la cage, je ne vois pas ce qu’il fait mais je sens une fraicheur sur mon cul. Il ...