1. Boys (3)


    Datte: 24/03/2018, Catégories: Gay

    ... m’enduit de crème, c’est apaisant pour mon cul irrité, mais je sais bien que ce n’est pas pour cela qu’il le fait. Il entre trois ou quatre doigts et force bien l’entrée, je gémis dans mon bâillon, j’aime cette sensation d’être pris ainsi. Je sens son pouce et sa main qu’il veut rentrer, la pression est très intense, la douleur aussi, mais il n’insiste pas plus que cela, me laissant à la fois soulagé et vide. Mais pas pour longtemps. J’entends un raclement, et un objet se positionner sur mon cul. J’entends mon Maître faire quelques réglages, et pousser l’objet au fond de mon cul. Il est imposant et surtout sans fin, de la taille environ de mon plug que j’ai pris pour venir le voir, mais sans l’amincissement à la base permettant de soulager l’anus et de le maintenir en place. Je me sens très rempli ainsi. Un moteur se met en route et je sens l’engin en moi se retirer puis revenir me fendre en deux. Mon Maître a installé une fuck machine en moi. La sensation est étrange, ma prostate est comprimée, je sens une envie d’éjaculer mais rien ne vient. Je tremble de tous mes membres, ne sachant si c’est de plaisir, de souffrance ou de désagrément. — Bonne nuit la pute, demain tu auras le cul bien ouvert. Je n’en crois pas mes oreilles, je ne peux rester ainsi plus de quelques minutes, mon Maître s’éloigne, la lumière s’éteint, je pleure doucement. La lumière s’allume à nouveau. Les heures ont passé, et Maître est venu plusieurs fois, remettre du lubrifiant, me pisser dessus aussi, ...
    ... mais rien pour alléger ma souffrance. Je me sens complètement détruit, épuisé, bon à rien. Mes muscles et mes tendons me font mal partout, je n’imagine pas pouvoir me sentir bien à nouveau un jour. Malgré ma situation mon sexe est resté tendu toute la nuit, dur comme jamais, sans que je puisse me toucher, le sperme glissant doucement comme pour me vider contre ma volonté, la prostate écrasée sans cesse par le god allant et venant inexorablement. Avec un plaisir secret, je sens comme il ne force plus pour rentrer en moi, mon anus a cédé et je suis maintenant très ouvert, ce qui ne manque pas de m’exciter. Je sens que des sécurités sont en train de lâcher en moi, que plus rien n’a d’importance que d’être utilisé comme un jouet et de sentir la vie en moi au travers de la souffrance et la contrainte. Cela ne fait pourtant pas longtemps que je suis arrivé, mais sans doute étais-je prêt et Maître a su le voir en moi. Je sens mon cœur rempli de désir tandis qu’il détache les liens qui me relient à la cage. Le god est enfin arrêté, laissant mon cul tout béant, et j’ai même le bâillon qui m’est à nouveau retiré. Je veux me précipiter à ses pieds, mais je m’écroule ne tenant pas sur mes genoux blessé, et je rampe jusqu’à lui pour lécher ses semelles avec dévotion. Un tremblement profond me ravage, je me sens rempli d’une onde de jouissance qui me terrifie : j’ai joui sans son autorisation et sans même me toucher. wcswjjg — Non mais que voilà une lope pareille. Ne t’ai-je pas interdit de ...
«1234...»