Nathalie
Datte: 24/03/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
amour,
revede,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
69,
init,
prememois,
... seraient décuplées. À un moment, Nathalie me proposa à boire. Ayant répondu oui, elle se pencha lentement pour saisir un verre. Je pus alors voir pour la première fois à travers l’échancrure de son décolleté deux gros globes appétissants, puis lentement elle se tourna pour accéder à une autre étagère où elle fouilla bien longtemps, et là aussi je vis sous ses reins creusés les deux belles courbes beiges de ses fesses affleurant sous le fin tissu devenant à leur contact quasi transparent, tandis qu’au milieu plus que jamais on voyait les contours galbés du "T" blanc qui me donnait la barre ; c’était probablement volontaire de sa part… Un tel spectacle me donna des effets qui m’enhardirent. Très vite, je la complimentai sur sa tenue, puis je me mis debout et je l’embrassai. Lentement, je descendis mes mains le long de son dos, puis sur sa ceinture. Après un long moment, je me décidai enfin à les poser sur ses fesses sans rencontrer d’obstacle excepté le fin tissu du pantalon, puis les caressai sur toute leur surface, les empoignant à pleines mains et m’amusant à suivre le contour de son string. Effectivement, cette fois-ci elle percevait encore mieux mes caresses, si bien qu’elle m’embrassait plus fort que jamais, poussa de petits gémissements et dit à voix basse, alors que nous nous serrions dans nos bras : — Oh que c’est bon, je te veux. Je répondis : — Vraiment ? Moi aussi tu me fais craquer, j’ai envie de toi et je t’aime, mais c’est tout nouveau pour moi, je sais pas ...
... comment faire. Elle me lança encore un regard ardent puis elle posa sa main sur ma braguette, caressant longuement le paquet qui se trouvait en dessous. Nathalie me relâcha puis me dit : — Je pense que le moment est venu pour qu’on couche ensemble, ça fait un bon moment qu’on se connaît, je t’aime et j’ai suffisamment confiance pour franchir le pas. Je suis prête, n’aie pas peur.— Oh, si tu en as envie… Mais je suis très hésitant, j’ai peur d’être maladroit envers toi, je ne l’ai jamais fait, lui avouai-je.— Je vais t’apprendre à faire l’amour, et d’ailleurs ça fait si longtemps que je ne l’ai pas fait. Elle me dit qu’elle se sentait prête à passer à l’action, je lui répondis que j’étais tout à elle, à sa disposition. Nous reprîmes les caresses et baisers, debout, puis nous nous allongeâmes sur le canapé. J’osai mettre une main sur un de ses seins, ce qui lui fit plaisir puis l’embrassai. Elle se redressa, je mis mes deux mains sur sa poitrine, la palpant avec joie, puis sur ses épaules et son ventre. Je lui disais qu’elle était très belle et que j’avais beaucoup d’affection pour elle, elle me dit que c’était réciproque et qu’elle ferait tout pour notre bonheur. Pendant plusieurs quarts d’heure nous nous embrassâmes tendrement et la température commença à monter ; le moment de consommer notre union approchait. Nous remettant debout, nous nous embrassâmes une fois de plus. Nathalie me dit : — Viens, que je t’apprenne. Elle m’amena dans sa chambre et se mit à déboutonner ma chemise, ...