Nathalie - Histoires de Sexe

Nathalie

... toujours une vue plongeante sur son décolleté. Rapidement, je me sentis au bord de défaillir, et je lui criai : « Arrête ! » Heureusement, elle réagit vite car peu après je ne pus me retenir, laissant échapper mon sirop d’orgeat sur le sol. Nathalie semblait toute contente de ce qu’elle m’avait fait. Elle se remit debout ; je l’embrassai et lui dis : — Merci ma chérie, maintenant, apprends-moi à te donner du plaisir, je veux t’en procurer encore plus que ce que tu viens de me donner ! Elle me répondit : — Bien sûr… Tu sais, j’ai appris à connaître mon corps en me donnant du plaisir toute seule ; là, je vais te montrer comment je suis faite et comment t’occuper de moi. Lentement, je lui enlevai son débardeur et déboutonnai son pantalon. Après avoir passé ma main sur ses fesses bien rondes, son pantalon s’abaissa de plus en plus et elle finit par l’enlever. Elle se retrouva face à moi, portant seulement un soutien-gorge blanc, sans dentelle, et le string assorti ; ces dessous immaculés la mettaient bien en valeur malgré (ou grâce à ?) leur simplicité. La serrant contre moi, je parcourus son corps sur toutes ses faces, l’embrassant dans le cou, puis dans le dos, puis sur les fesses. Je lui fis la remarque : — Eh bien, Nathalie, tu as des fesses vraiment très belles, et tu les as bien mises en valeur avec ce string, mais ça me surprend de ta part que tu portes ce genre de chose. Coquine, va, tu caches bien ton jeu ! Tu es vraiment sexy ; tu m’as vraiment excité : dès que je t’ai ...

... vue je me suis mis à bander.— Oh, merci du compliment, ça faisait bien longtemps que je ne l’avais pas entendu. Je l’ai acheté il y a pas longtemps ; avant, je n’en portais jamais mais je me suis dit que ça te plairait. Je sentais qu’on allait bientôt coucher ensemble, et franchement, la fois passée, quand tu m’as si bien caressée, j’ai regretté de ne pas l’avoir mis. Et puis ça me donne un côté sexy ; je sais que ce genre de sous-vêtement plaît aux hommes… D’ailleurs, tout à l’heure, quand je me suis penchée vers la commode, je me suis dit que tu allais bien me mater, et ça n’a pas manqué.— Effectivement, ça me plaît. De la fille sage ça te change en bombe ; c’est une belle surprise. Elle me répondit : — Tiens, si tu veux m’admirer. Puis elle se retourna, exagérant un peu sa cambrure pour encore mieux faire ressortir ses formes. Je l’admirai puis passai mes mains sur son dos et ses fesses, suivant le creux de ses reins et le triangle arrondi de tissu. Ensuite, je l’embrassai dans le cou, le dos et sur les fesses, puis tentai de lui dégrafer son soutien-gorge, mais il fallut un petit moment pour que j’arrive à bien le défaire. Pendant ce moment-là, ma queue frottait contre ses fesses nues, et elle passa une de ses mains derrière elle pour l’agiter et caresser mes attributs. Je me remis alors face à Nathalie, lui enlevant son soutien-gorge pour libérer sa lourde poitrine, que je pris dans mes deux mains pendant que je lui embrassais le cou. Ensuite, alors que je reprenais de ...