1. N'épousez pas une pute (4)


    Datte: 24/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Les copains avaient prévus de venir nous chercher à la gare. En fait il n’y avait que Benjamin. Il nous aida à porter nos valises jusqu’à l’appartement. Quand nous ouvrîmes la porte, les six autres mecs étaient là, à poil, la queue en l’air. Ils s’étaient chauffés avec un porno qui défilait sur grand écran: "Tu nous as manqué Sylvia". J’eus beau protester que nous étions fatigués, qu’ il fallait que cela cesse, qu’ils ne pouvaient pas venir baiser ma femme comme cela quand ils voulaient, ils étaient déjà tous autour, lui ôtant ses vêtements, la pelotant, ou lui mettant la main dans la fente. Elle se laissa faire avec beaucoup de bonne volonté. Je les laissais. La partouze dura tard dans la soirée. Trop, c’était trop. J’avais donc décidé de déménager loin de mes potes pour reprendre une vie "normale". Je retrouvai du boulot sans peine et, au bout de six mois à peu près nous avions trouvé un équilibre. Je ne dis pas que de temps en temps le sexe en groupe ne nous manquait pas, et nous nous rendîmes même une fois dans une boîte à partouze, mais dans l’ensemble nous vivions bien et heureux comme cela. Quand je n’étais pas disponible pour le sexe, ma femme jouait avec une panoplie de sex-toys que nous avions achetés ensemble. Il lui fallait une dose quasi quotidienne de queue, caoutchoutée ou pas, et je ne répondais pas tout les jours présent. Au moi de juillet, j’invitai un collègue à la maison. Il était seul, sa femme et ses enfants étant partis déjà en vacances. Nous prîmes ...
    ... l’apéro et Sylvia se mit à le draguer ouvertement. Elle s’était vêtue très légèrement et sa mini-jupe, pour peu qu’elle se pencha un peu, laissait voir un string provocateur. Nous nous assîmes pour le café. Elle fut le chercher. Elle resta debout pour le service et, en se penchant vers Christophe qui me faisait face (c’est ainsi qu’il s’appelait), je vis qu’elle était nue dessous. Elle s’était dessapée et avait juste remis sa robe sur sa peau dénudée. Naturellement, quand elle me servit, elle présenta sa croupe à notre hôte... qui en renversa sa tasse. "Vincent Chéri, tu veux aller chercher de quoi essuyer ton ami ?" Je me levai au moment où elle prenait déjà l’initiative de lui ouvrir sa chemise. Quand je revins, elle était déjà en train de le sucer. Il avait l’air de ne pas réaliser. Son cul de salope dressé en l’air pendant qu’elle lui bouffait la bite, m’invita avec empressement. Je succombai bien malgré moi. Je me débraguettai, empoignai ma bite et, après lui avoir caressé la vulve avec l’extrémité du gland, je la pris en levrette. Elle avait, pendant ce temps, entièrement baissé le futal du mec libérant ses grosses couilles velues, qu’elle bouffait avec application tout en masturbant le vit. Le type, avait la tête penchée en arrière et râlait de plaisir. Elle saisit le zob et le maintint entre ses deux nibards. Sans doute peu habitué à de telles festivités Christophe éjacula très vite par de longues saccades propulsées très haut en l’air et retombant en lourdes larmes sur ...
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