N'épousez pas une pute (4)
Datte: 24/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... limer avec ardeur. Le mec ne tint pas longtemps et jouit à son tour. Je fis remettre ma femme à genoux : "Viens là sale pute" puis je me masturbai jusqu’à ce que j’éclabousse son petit visage plein de contentement. Les deux mecs partirent en remerciant. "il faut qu’on parle dis-je à Sylvia" — Moi d’abord. xfnxppho Et elle me montra deux billets de cinquante euros laissés par les deux puceaux. "Tu les as fait payer"? — Ils m’ont proposé. J’ai répondu oui pour rire mais ils m’ont prise au mot. — Pas qu’au mot... Je lui fis comprendre que je n’en pouvais plus de cette vie. Que s’envoyer en l’air de temps en temps avec des potes ou des inconnus, pourquoi pas, mais que là j’aurais aimé me poser un peu... avoir des enfants... Elle me promit de s’assagir. Las! rien n’y fit. Elle était insatiable. Le feu au cul tout le temps, une irrépressible envie de bites la tenait sans arrêt en chaleur. A chaque fois que je rentrais du boulot, je me demandais si je n’allais pas trouver un collègue, un mâle de l’immeuble, ou tout simplement un inconnu, et même plusieurs, en train de la grimper. ...
... Une nuit même, vers trois heures du matin, je m’éveillais alors qu’elle répondait à un sms. Je la vis se lever, entièrement nue et je l’entendis sortir de l’appart. Je bondis juste à temps pour la voir monter les escaliers et disparaître dans la colloc du dernier étage. Elle revint plus d’une heure après. Elle sentait le sperme et je vis, en me levant le matin, les billets sur la table du salon. Nous divorçâmes peu après. Elle continua de faire commerce de son corps autant pour vivre, et elle en vivait très bien, que par plaisir, et elle en prenait beaucoup. Deux ans plus tard, à peu près, je fus invité à son mariage, à la réunion... avec le père de William qui y trouva son bonheur en même temps qu’il arrondit ses fins de mois. Nous étions tous là pour la nuit de noce et, après qu’elle se fût faite sauter par son nouveau mari, il me revint l’honneur de la baiser en deuxième, avant même son nouveau beau-fils, ce dont je ne me privai pas. Nous sommes restés bons amis et chaque fois que je la vois, j’ai encore beaucoup de plaisir à la piner... c’est resté gratuit pour moi. Fin.