Hélène et le garçon (1)
Datte: 24/03/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Hélène et le garçon 1 Je m’appelle Hélène et viens d’avoir quarante trois ans. Je suis mariée à Pierre depuis près de dix-huit ans. De notre union nous avons eu un fils, Eric, qui n’est plus adolescent sans être encore adulte. Pierre est marié avec son travail. Il rentre tard le soir et passe plus de temps avec sa secrétaire, Fabienne, qu’avec moi. Je lui en ai fait la remarque plusieurs fois et je me demande si je n’ai pas allumé une mèche involontairement. En effet, depuis près de deux ans, nos relations intimes se sont espacées singulièrement et je soupçonne qu’il voit Fabienne plus qu’il n’est nécessaire. Quand nous sommes au lit, je tente de lui prodiguer des caresses, mais il grogne et s’endort. Une fois, j’avais joué le grand jeu, avec de jolis dessous très affriolants que j’avais eu honte à acheter. J’avais paradé devant lui comme une prostituée aurait pu le faire et lui n’a eu qu’un rictus sardonique pour me répondre. Mon moral était cassé, je lui en voulais terriblement. Désormais, il ne me touche plus et je suis un peu, ou plutôt énormément, en manque de tendresse, d’amour, surtout de sexe ! Pourtant, quand je me regarde dans la glace je me trouve assez attirante, sans être un canon de beauté. J’ai des cheveux châtains, très courts, une belle poitrine en poire qui se tient bien, j’ai de belles jambes à ce que l’on dit. Quand je sors, je tâche d’être élégante, d’aucuns diront un peu bourgeoise. Malgré cela, je reste fidèle à mon mari et n’ai jamais eu ...
... d’aventures extraconjugales. Le meilleur ami de Pierre a bien tenté de me séduire plusieurs fois, mais j’ai repoussé toutes se avances, allant même à le menacer d’avertir sa femme. Il y a aussi ma meilleure amie, Laure, lesbienne affirmée qui m’a pressée, mais je ne suis pas allée au-delà du baiser avec elle. Et encore, une seule fois. J’avoue que, maintenant, tout symbole phallique m’émoustille, j’en vois partout ! Mais j’ai tant envie de faire l’amour ! Une fois, en épluchant des carottes, j’ai ressenti une bouffée interne, comme un commandement et me suis mise à sucer cette belle carotte comme un sexe masculin. J’ai osé soulever ma robe, baisser mon collant et ma culotte pour frotter le légume entre mes jambes, debout dans la cuisine. C’était froid au contact, mais délicieux comme sensation, je n’ai pu résister longtemps ! J’ai écarté les lèvres et me suis enfoncé, au plus profond, ce membre improvisé. J’étais pénétrée d’un sexe, hum comme c’était bon ! Quelques vas et viens et je tremblais déjà sur mes jambes avant de jouir rapidement et intensément. Heureusement, j’étais seule à la maison. J’ai ensuite extirpé mon amant pour le râper sans le rincer. Mes deux hommes se sont régalés des crudités ce jour là. C’est pervers, je l’avoue mais c’était une façon de me venger de mon mari. Bref, l’été arrive et Pierre ne se décide pas pour nos vacances, jusqu’au jour où il m’annonce qu’il doit partir en déplacement à l’étranger pendant plusieurs semaines. Et, ça ne manque pas, Fabienne ...