1. Hélène et le garçon (1)


    Datte: 24/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... gorge et enfile ma nuisette, je préfère garder ma culotte pour la nuit même si ça n’est pas dans mes habitudes. Quand je sors de la salle de bain, je laisse la lumière allumée et me rends compte un peu tard que mon fils doit me voir à contre-jour et que ma nuisette étant un peu transparente, il ne doit rien manquer du spectacle que j’offre. Il détourne rapidement le regard pour filer dans la salle de bain. Je m’endors très rapidement, probablement à cause du changement d’air et de la fatigue du voyage. Le lit n’est plus jeune et forme un creux qui nous fait petit à petit glisser au centre du matelas et je me réveille souvent dans la nuit, dos à dos avec Eric. Le lendemain, nous traînons un peu et la matinée est bien avancée quand nous allons sur la plage. Comme nous sommes en retrait de la ville, il y a peu de monde sur le sable et nous n’avons pas de difficulté à trouver de la place. Après avoir disposé les serviettes, je quitte ma robe en coton et me retrouve en deux-pièces. Eric est déjà en maillot et je constate que sa peau blanche mérite d’être protégée du soleil. Il maugrée un peu quand je lui applique de la crème solaire sur le dos et il finit par s’allonger sur sa serviette. Je lui demande : « Mon chéri, tu peux m’en mettre dans le ...
    ... dos ? » pbvpyyha « Bien sûr, maman! » Je lui tends le pot et m’allume une cigarette. Je suis en appui sur les coudes quand il commence à m’appliquer la crème sur les épaules, il est un peu brusque et je lui en fait part. Il est embarrassé avec mes bretelles aux épaules, aussi lui dis-je : « Dégrafe mon soutien-gorge, de toute façon je ne veux pas avoir une rayure blanche dans le dos » Je le vois hésiter, c’est vrai c’est la première fois que je lui demande ça, mais, auparavant, il m’avait déjà aidé à monter ou baisser la fermeture d’une robe. Il s’essuie les mains rapidement et on ne peut plus maladroitement réussit quand même à enlever l’attache et à écarter les pans pour me mettre le dos à nu. Sa main tremble quand il me touche et c’est avec une délicatesse infinie qu’il me masse. Je ferme les yeux et imagine qu’un inconnu me caresse. Je frissonne et Eric enlève sa main. Il cherche à vite s’allonger sur le ventre et, très furtivement, j’ai aperçu son pénis sorti de son maillot. En un dixième de seconde, j’ai eu la vision d’un gland énorme. Comme je n’en connais pas d’autres ! Je me ressaisis en me corrigeant intérieurement de vouloir voir des bites partout ! Et surtout de mater celle de mon fils. En tout cas, je n’ai pas rêvé, Eric bande pour moi. 
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