La grosse d'en face
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
h,
fh,
couple,
voisins,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
double,
fdanus,
fsodo,
fouetfesse,
piquepince,
humour,
ecriv_f,
La grosse d’en face avait une sexualité intéressante. À cette époque-là, je vivais seul. Ça me convenait parfaitement. Je sortais beaucoup et je me laissais ramener dans les maisons de demoiselles très accueillantes. Ça m’évitait de devoir justifier l’accumulation de vaisselle dans l’évier, le rangement inédit de ma penderie, l’occupation du canapé par un vieux reste de pizza et le frigo désert. J’étais rarement chez moi. Mais un jour, alors que je finissais le fameux vieux bout de pizza en même temps que l’étude d’un dossier urgent, j’arrêtai de me lamenter sur mon sort, ainsi que toute la rue, je suppose, en entendant un bruit à la fois familier et étranger. Familier parce que je l’entendais quand même assez régulièrement. Étranger parce que généralement, la demoiselle qui le produisait était toute nue dans un lit, près de moi tout nu. Une pause s’imposait. J’allai à la fenêtre, pour voir si par hasard, une nymphomane ne serait pas en action en bas, dans la rue, au chaud soleil de midi. Vérification faite, hélas, la logique l’emportait : pas de nymphomane dans la rue. Pourtant, le bruit continuait. Et en relevant les yeux, je manquai l’apoplexie. À vrai dire, je ne sais pas au juste ce qu’est l’apoplexie, mais s’il s’agit d’un gros coup de chaud qui fait s’écarquiller les yeux et draine un maximum de sang à la bite, c’était bien de l’apoplexie. Et je ne la manquai pas, finalement. Là, devant moi, dans l’immeuble d’en face, au même étage, à peine séparée de moi par une ...
... petite rue à sens unique, de l’autre côté de la fenêtre ouverte, se tenait, une demoiselle à quatre pattes surmontée d’un monsieur. Les fenêtres, dans ma rue, montent haut et descendent bas, quand on se met à la fenêtre, on ne peut pas s’accouder, le bas de la fenêtre arrive au milieu du tibia. J’avais une vue plongeante dans la chambre de ma voisine d’en face. J’avais déjà remarqué ce panorama intéressant, mais, bien que je sois très porté sur le voyeurisme, la voisine était vraiment trop replète à mon goût, et j’attendais patiemment qu’elle déménage. Là, ça prenait une autre tournure. Je buvais la scène des yeux. Dieu merci, elle n’était pas complètement de dos, sinon je n’aurais vu que les fesses du monsieur, ce qui eut été fatal à mon apoplexie (si tant est que ce soit de l’apoplexie) Elle se tenait de trois quarts, les fesses tournées vers moi (vers le monsieur, plus exactement). Moi qui pensais ne bander que pour les femmes minces, je n’hésitai pas à faire fi de mes principes pour rendre hommage illico à cette opulente demoiselle, dont les fesses dépassaient de part et d’autre du monsieur. Je voyais une partie de ses nichons volumineux ballotter sous l’ardeur de son cavalier, par-delà un ventre rebondi. Elle devait bien approcher des 100 kg et elle n’était vraiment pas de taille à être mince avec un tel poids. Pendant que ma main partait à la rencontre de la manifestation de mon apoplexie, je me demandais furieusement dans quel trou l’heureux homme était allé se nicher. Mais ...