La grosse d'en face
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
h,
fh,
couple,
voisins,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
double,
fdanus,
fsodo,
fouetfesse,
piquepince,
humour,
ecriv_f,
... ce n’était pas bien important, tout compte fait, la demoiselle était déjà tellement excitante en elle-même. Si charnue, toute ballottante, si abandonnée aux secousses de son amant et si… si sonore ! Toute la rue devait être aux fenêtres, comme moi ! Je me reculai un peu, en me dissimulant derrière le rideau, pour ne pas risquer d’être vu. Mais visiblement, tout le monde mangeait sagement. L’homme tenait les hanches de la demoiselle des deux mains. Il en détacha une et pointa un doigt vers le beau gros cul qu’il pénétrait. C’était donc une simple pénétration classique. J’en fus presque déçu, mais je changeai très vite d’avis en voyant le monsieur faire disparaître son doigt entre lui et le gigantesque fessier. La demoiselle sembla apprécier le traitement autant que moi, car elle feula de plaisir. Si, si, elle feula, comme un animal sauvage dans la jungle, un cri qui partait du fond de sa poitrine agitée et qui s’éraillait dans sa gorge. J’aurais bien aimé voir sa bouche. J’aurais bien aimé aussi que le monsieur cesse de me cacher une grande partie de ses fesses. Mais… le sort du voyeur est de se contenter de ce que ses yeux peuvent accrocher. Je profitai donc de l’instant, comme le faisaient ces deux affolants affolés. Hélas, je jouis avant eux, dans ma main, tout triste d’être moins endurant que le monsieur. J’attrapai du Sopalin et continuai à apprécier la scène qui s’offrait à moi, en amateur. Le monsieur avait un coup de rein très expérimenté. Je regardai ma montre. Ça ...
... devait bien faire vingt minutes que je les regardais. La demoiselle avait beau donner de la voix, elle n’avait pas l’air de jouir. Je regrettais moins de n’être pas à la place du monsieur ! Il l’avait redressée contre lui et tentait de remédier à la situation, en lui caressant les seins. Les tétons étaient bien dressés. Il les a pincés dans ses doigts. Je songeai que moi, j’aurais plutôt caressé son clito. Infaillible. Alors que le pincement de téton est souvent le plus court chemin vers la baffe. Le monsieur sembla avoir la même idée que moi : une de ses mains lâcha le téton dressé et alla titiller plus bas. Mais la demoiselle ne jouissait toujours pas. Finalement, le monsieur dut perdre patience, il la remit à quatre pattes et se mit à pomper entre ses fesses, sans plus se préoccuper de ses humeurs, les mains agrippées à ses larges hanches. Au plus fort de ses mouvements, il leva une main et la claqua sur l’imposant fessier. La demoiselle sursauta et protesta. Le monsieur jouit et se retira, s’allongeant près d’elle, sur le dos et l’attira à lui. Elle râlait encore de cette claque inattendue. Il lui fit des petits bisous et elle finit par se calmer. Je revins vers ma pizza et mon dossier en me sentant nettement supérieur : moi, je l’aurais sans nul doute faite jouir ! Quelques jours plus tard, je me trouvais chez moi, un soir. Je me préparais pour sortir, histoire de trouver, dans un café, une gentille demoiselle accueillante chez qui passer la nuit. C’était toujours les beaux ...