Confessions sur un dolmen
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
nympho,
grosseins,
fépilée,
fsoumise,
noculotte,
Oral
piquepince,
sm,
fsoumisaf,
Oriane et Karine, motardes, soi-disant lesbiennes et toutes deux pleines de piercings, m’ont fait entrevoir le côté obscur de leur personnalité. Après avoir sodomisé l’une et léché l’autre sur un banc, à l’écart, je rejoins la noce muni d’un numéro qui doit me permettre de retrouver leur profil sur un site web. Karine et Oriane avaient repris leur place à table comme si de rien était. La soirée avançait doucement, animée par un petit orchestre du cru qui semblait ravir les convives locaux. Mais pour quelqu’un qui n’est pas Breton de souche, la bombarde et le biniou tiennent plus de l’instrument de torture que de l’instrument de musique. S’ajoutant à cela les effets du champagne et autres alcools qui avaient été à l’honneur depuis le milieu de l’après-midi… Je pliai donc piteusement les voiles vers les deux heures du matin. Une fois au calme dans la chambre d’hôtel, je branchai mon portable et profitai de la connexion Wifi pour aller découvrir le fameux site. Après une inscription rapide, la consultation du profil public de Karine ne m’a pas appris grand-chose sur son parcours ni ses aspirations, mais m’aura permis de découvrir une vingtaine de photos extrêmement explicites. Le visage systématiquement masqué par une cagoule de cuir noir – mais ses tatouages et ses piercings permettant de l’identifier sans peine –, elle y est montrée dans différentes situations de soumission : ligotée dans une position incroyable, enchaînée au milieu d’un groupe d’hommes qui profitent d’elle, ...
... exhibée à moitié nue sur un parking d’autoroute, en tenue de motarde, avec un bâillon sous son casque intégral… Je découvris aussi sur ces photos un tatouage sur son pubis que je n’avais pas vu en la prenant par derrière : le mot « SLUT » en lettres gothiques capitales… Si j’en crois ma petite culture anglo-saxonne, ça se traduirait littéralement par « fille facile », mais les mots « salope » ou « pétasse » semblent tout à fait appropriés. Charmante affiche. Une photo surtout retint mon attention par son humour et l’incongruité de la situation. On y voyait Karine, la jupe relevée dans les rayons d’une grande surface de bricolage – sans doute Leroy-Merlin – une clé à molette à la main et le sexe fermé par une série de boulons. Excité par toutes ces images, je me masturbai frénétiquement, avant de sombrer rapidement dans le sommeil. C’est le bruit du troupeau de Harley s’ébrouant dans la cour de l’hôtel qui me réveilla le lendemain matin. Le temps de descendre, et le groupe de motards était parti pour une virée dans l’arrière-pays dont ils ne reviendraient qu’à l’heure du repas. Prêt à passer la matinée en solitaire, j’étais en train de quitter l’hôtel en direction de la plage quand Karine me rattrapa. — Christophe, tu vas à la plage ? Je peux venir avec toi ? Ne me laisse pas avec les gamins et les petits vieux…— Karine ! Je pensais que tu étais parti en moto avec Oriane ?— J’ai cédé ma place. Les deux filles qui étaient à notre table hier soir, voulaient faire leur baptême de ...