1. Confessions sur un dolmen


    Datte: 14/07/2017, Catégories: nympho, grosseins, fépilée, fsoumise, noculotte, Oral piquepince, sm, fsoumisaf,

    ... ne parle pas et ça ne ressent rien. Je suis sûr qu’il reste quelque chose d’humain en toi… Comment en es-tu arrivée à te présenter ainsi, et quelle satisfaction en tires-tu ? Le dolmen était très bas et couvert de mousse. Karine s’était assise sur la dalle supérieure. Elle resta quelques instants sans répondre, puis, les yeux baissés, elle reprit sur un ton très doux, presque à voix basse. — Puisque tu veux vraiment tout savoir… J’ai commencé à coucher avec des mecs dès le début du collège. Fréquemment. Frénétiquement. Tout le monde m’a toujours considérée comme nymphomane. J’ai culpabilisé, j’ai lutté, j’ai fait une psychanalyse pendant des années, rien ne m’a calmée. J’ai tourné dans des films X, j’ai participé à des partouzes. Ça a été une période très difficile. J’avais vraiment honte de mon comportement, mon addiction au sexe m’a pourri ma vie sociale et familiale, m’a causé des tas de problèmes durant mes études, mais c’était comme une drogue, il m’en fallait toujours plus et je n’ai jamais réussi à me sevrer. Et puis un jour, j’ai tenté une expérience sadomasochiste, un peu par hasard, et j’ai rencontré un homme extraordinaire qui est devenu mon maître et qui a donné un sens à tout ça. C’était très simple : j’étais son esclave, et son principal fantasme était de voir son esclave se faire prendre par un maximum d’hommes. Je te résume ça grossièrement, en pratique c’est un processus mental qui a pris plusieurs années, mais aujourd’hui je suis très claire dans ma tête : ...
    ... ce corps est unfuck toy, une poupée gonflable, appelle ça comme tu veux, je n’ai pas à avoir honte de ce qu’il fait, puisque ce corps appartient à mon maître ou maintenant à ma maîtresse. Mon esprit est détaché de tout ce que ce corps peut faire, mais en jouit en spectateur averti. Elle marqua une petite pause, puis releva sa robe jusque sur ses hanches et écarta largement les cuisses. Comme j’étais encore debout face à elle, j’avais pleine vue sur les trois gros anneaux qui fermaient son vagin, sur le petit grillage qui couvrait le haut de sa chatte, et sur les quatre lettres « SLUT » qui ornaient son pubis. Je découvris également une petite chaînette qui faisait le tour de sa taille. Karine reprit finalement : — Ce matin, maîtresse Oriane m’a demandé de mettre ma bouche à ta disposition, et si tu refuses d’en faire quoique ce soit, elle en sera vexée. Alors, doucement, je m’avançai vers elle et plaçai mes mains sur ses hanches. Je me collai contre elle, et plaquai ma bouche contre la sienne. J’essayai maladroitement d’embrasser et de mordiller sa lèvre inférieure, mais l’anneau de labret me déconcertait, tandis que le lourd anneau qui pendait de son nez m’empêchait d’attaquer la lèvre supérieure. Enfin, elle ouvrit la bouche et sa langue vint à la rencontre de la mienne. La sensation de ses trois piercings venant explorer mes lèvres puis jouer avec ma langue était simplement unique. Je l’embrassai goulûment pendant plusieurs minutes, tandis que mes mains pelotaient fermement ...
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