1. Camille


    Datte: 26/03/2018, Catégories: fh, ff, oncletante, telnet, Masturbation intermast, Oral

    ... Accompagnant à distance le sexe de Théo Niagara a d’abord titillé une pointe de ses seins du bout de son index puis est descendue, avec ce même doigt, entre ses jambes, frôlant sa fente et poussant loin jusqu’au bord de l’anus, lubrifiant elle aussi son doigt. Sur l’ordre de Camille à Théo Niagara a également enfoncé l’index dans son vagin. Il tourne en elle maintenant, répondant aux recommandations de sa nièce au téléphone. Elle n’est même pas attentive à ces dernières. On a l’impression qu’elle n’a plus de conscience, fascinée par la jeune fille, prise sous son autorité. Pendant ce temps Camille n’a pas cessé de parler, de caresser par procuration, de soumettre à distance. Niagara reprend contact avec le propos par ces mots : « Elle m’excite comme une folle cette vicieuse. » Et encore une fois, rien dans le ton ne laisse deviner son trouble, et le timbre est celui qu’on emploie dans la lecture d’un constat. Sa nièce vient de demander à Théo de joindre un autre de ses doigts, d’aller et venir entre les lèvres et Niagara suit aussi la directive, sa jupe est soulevée, elle regarde entre les mèches de ses cheveux ses doigts entrer en elle, ressortir. Théo doit maintenant, tout en s’agitant dans la fente, pincer la pointe des seins de Katia et Niagara lâche sa jupe et se livre au même jeu. Au moment même où elle serre l’extrémité un petit cri s’échappe et elle entend sa nièce : « C’est elle qui a poussé ce gémissement ? ». Et Théo doit répondre par l’affirmative, car elle ...
    ... constate une certaine satisfaction sur le visage de Camille. Niagara a serré la totalité de son sein dans sa main, comme en réflexe à la peur d’avoir été entendue, et pour apaiser peut-être une trop forte émotion. Et en même temps elle mouille et elle adore ça. Elle respire fort, les doigts devenus immobiles dans son sexe, sa main enserrant la rondeur de son sein. Elle entend : « Prends sa mamelle dans une main, pétris-la pour moi », et Niagara obtempère, rouge d’excitation et d’étonnement tant les gestes, là-bas, ici et dans la bouche de sa nièce, se succèdent, se précèdent, semblent faire écho les uns aux autres. Cette émotion la déséquilibre et elle lâche son sein pour se retenir à l’accoudoir du petit sofa de l’entrée. Elle a toutefois repris sa masturbation. « Elle en est où là ? Oui. Encore deux ongles donc ? C’est joli ? Elle sait se contrôler cette fille ! Passe derrière elle. Lâche-la oui. Frotte ta queue entre ses fesses, oui frotte, frotte-la, mais sans la pénétrer, vas-y. Tu aimes ? Elle mouille — ça glisse, je veux dire ? » Et Niagara se surprend à regretter ; pas de voisin, pas de sexe pour venir caresser sa fente. Mais l’instant d’après elle a déjà réagi et ôté les doigts de son intimité. Le bas de sa robe est retombé et sa chatte se frotte à l’extrémité de l’accoudoir à travers le tissu, là où l’angle arrondi s’épaissit. Un lent va-et-vient qui la fait souffler bruyamment. Cambrée sur ses jambes, elle a empoigné ses fesses afin de les disjoindre et accompagne les ...
«12...456...»