1. Ambassadeur de France aux antipodes (1)


    Datte: 14/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... débrouillardes et je pense qu’elles devaient me battre au bras de fer. À force d’efforts de compréhension j’ai réussi à en conclure qu’elles étaient en train de refaire l’enclos pour les poules car un cheval avait cassé plusieurs poteaux. Pour vous faire une idée il y avait aussi une vingtaine de cochons destinés à la consommation personnelle. Pendant que je filais un coup de main aux filles dans leurs travaux, j’en profitai aussi pour les mater et quelque part, un peu fantasmer sur elles. Par contre de mon côté j’étais en train de commencer à sentir le contrecoup du décalage horaire. Caroline avait essayé de me faire comprendre qu’il fallait que je me couche en même temps qu’elles par contre je ferai une énorme nuit. Le contrecoup du voyage et la chaleur ne m’aidaient pas à tenir le coup. Je regardais autour de moi, il y avait quelques hangars pour le bétail, pour entreposer les véhicules, une grosse écurie. Il y avait surtout un grand château d’eau en fer avec une cuve métallique à une dizaine de mètres de haut. Cela me faisait tout drôle de voir ces trois femmes loin de tout, heureuses de vivre comme elles le faisaient alors que moi j’aurais eu les pétoches. Heureusement pour moi, la journée commençait à prendre fin et nous nous sommes retrouvés à table. Chacun avait ses tâches imparties pour le bon déroulement du vivre-ensemble. Dès le premier soir, je me suis retrouvé à faire la vaisselle, à tour de rôle, il allait falloir que je mette la table, que je la débarrasse, ...
    ... que je passe le balai, que je fasse le ménage dans la maison, nous qualifierons cela de travaux d’intérêt généraux. Les trois femmes m’ont regardé faire la vaisselle car elles voulaient s’assurer que je fasse cela à leurs convenances, heureusement j’ai passé l’examen. J’étais pressé que la journée se finisse car je mourais d’envie d’aller me coucher. J’avais oublié de vous dire au-dessus de mon lit se trouvait une moustiquaire qui ne protégeait pas contre les moustiques mais contre les araignées. Tout le monde a pris sa douche et à ma grande surprise les filles sont sorties avec des t-shirts assez longs qui leur servaient de chemise de nuit, c’était un appel au viol. J’avais l’air d’un con avec mon boxer en lycra qui rapidement a laissé apparaître ma poutre apparente. Bien évidemment les deux sœurs n’ont vu que ça, j’étais mal à l’aise mais cela m’excitait encore plus. En plus de ne pas être farouches, les deux sœurs n’étaient pas vraiment pudiques. Est-ce qu’elles voulaient m’allumer ou étaient-elles vraiment naturelles à ce point, toujours est-il qu’au moment de m’endormir j’avais vraiment envie d’étrangler le borgne. Il était vingt et une heures et j’étais déjà couché. C’est la fatigue qui a eu raison de mes projets, j’ai dormi jusqu’au lendemain midi. C’est Caroline qui est venue me réveiller avec une tendresse toute maternelle à mon égard. Ses deux filles sont arrivées avec un grand sourire, il n’y a pas à dire elles avaient déjà commencé à bosser depuis pas mal de temps. ...
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