1. Ambassadeur de France aux antipodes (1)


    Datte: 14/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Nous avons pris un déjeuner gargantuesque, Caroline avait l’air contente que je mange tout ce qu’elle préparait car elle savait bien que la nourriture n’était pas tout à fait la même qu’en Europe. J’étais arrivé hier et ces trois femmes faisaient vraiment tout pour que je me sente de la famille à part entière. Moi qui étais très sensible aux odeurs et surtout des effluves féminins, j’étais vraiment comblé, car après l’effort, ces trois femmes sentaient vraiment très bon. Leurs odeurs, on ne peut plus féminines me remuaient complètement la tête, le résultat était une réaction que je ne dissimulais que difficilement. Au fond de moi, je me disais qu’il fallait quand même que je sois ambassadeur de mon pays, et donc que je ne passe pas pour un obsédé sexuel ou un primaire qui ne pense qu’avec sa queue. Par moment, c’était quand même plus fort que moi, je ne pouvais pas me retenir de m’approcher de l’une ou l’autre, juste pour pouvoir humer leurs fragrances naturelles. Ce qui faisait drôle ici c’est qu’il n’y avait strictement aucun bruit à part celui que nous faisions le cri de quelques oiseaux de toutes tailles ou animaux divers du ranch. La seule trace de vie que nous pouvions discerner, c’était le passage d’un avion à très très haute altitude. J’ai appris plus tard que c’était un vol Perth Brisbane. J’ai appris que les habitations les plus proches se trouvaient dans un village du nom de Indulkana. C’était un village aborigène à un peu plus d’une heure de route de chez nous, ...
    ... quand je vous parle d’une heure de route il s’agit plutôt d’une heure en voiture. Il s’agit plutôt de chemins tracés à travers le bush, je vous laisse imaginer l’espérance de vie d’une petite voiture européenne dans ces immensités. Ce jour-là nous avons eu pour mission avec Kristiana de retaper un enclos, heureusement qu’elle était là car avec les avertissements au sujet des araignées et des serpents, je n’étais pas vraiment très fier. Nous étions armés d’une bobine de fil de fer de gants épais, d’une pelle, d’une pioche, d’une tenaille et des poteaux étaient déposés partout où il devait être changé. Au premier coup de pioche, j’ai réalisé combien la terre était dure, c’est à ce moment-là que j’ai compris pourquoi une foreuse amovible avait été fixée à l’avant du pick-up. Ma collègue de travail m’a expliqué comment tenir la foreuse pour commencer le trou. Là, à ma grande surprise elle est venue se coller derrière moi, pour me montrer l’attitude à adopter, mais au fond de moi je pense que c’était surtout pour que nos deux corps rentrent en contact. Disons que le geste était quand même beaucoup plus commode car elle m’expliquait tout en anglais donc je n’étais pas sûr de comprendre le sens parfait de ce qu’elle me disait. Je peux vous garantir que cet après-midi, avec le soleil je trouvais que mon jean était quand même un peu superflu. En plus de mon pantalon moi je portais un t-shirt emploi alors que Kristiana avec un short de la taille de sa culotte et une chemise sur laquelle ...
«1...345...8»