Par le trou de la serrure
Datte: 27/03/2018,
Catégories:
f,
profélève,
nympho,
vacances,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Masturbation
rasage,
confession,
humour,
... ravissante jeune fille d’intéressantes dispositions… La rupture en fut amplement facilitée, d’autant qu’Armande n’était pas rancunière. Mais Christian ne savait plus trop où il en était, se demandant par exemple s’il n’aurait pas dû faire plus d’efforts pour suivre Armande jusque dans ses débordements… Et puis, il avait appris par un collègue plus ancien dans l’entreprise qu’Armande avait été longtemps mariée à un cadre aujourd’hui parti sous d’autres cieux, qui l’avait cocufiée au vu et au su de toute l’entreprise, jusqu’à ce qu’il la quitte définitivement en filant avec son assistante de vingt ans plus jeune. C’est seulement ensuite, semblait-il, qu’Armande était devenue « la gourmande », découvrant progressivement ses propres désirs et les moyens de les assouvir… S’adonner aux plaisirs du sexe sans retomber dans le piège des sentiments. Aujourd’hui, il se rendait compte que cette relation lui avait aussi beaucoup apporté, ne serait-ce que par le fait qu’au travers du regard de sa maîtresse, il avait découvert qu’il disposait de solides atouts pour plaire aux femmes. En repensant à cela, un sourire se dessina sur ses lèvres. Les paroles d’Armande qui tout d’abord l’avaient choqué par leur crudité extrême lui revenaient en mémoire. — J’adore ta queue… Elle n’est pas d’une longueur exceptionnelle, mais elle est très bien proportionnée. Le gland en est superbe, ferme et large, bien dessiné et je le sens bien quand il coulisse dans ma chatte ou dans mon cul, ou quand il ...
... remplit ma bouche… J’aime tes couilles aussi, gonflées de ce jus que tu me dispenses à chaque fois en abondance… Oui, finalement, et si c’était lui qui n’avait pas été à la hauteur d’une telle maîtresse ? Trop jeune pour comprendre cette soif de plaisir chez cette femme qui avait longtemps payé pour apprendre et qui ne voulait plus maintenant laisser passer aucune occasion, le temps lui étant compté. Et un jour, sait-on jamais, il se pourrait bien qu’il se retrouve dans la version masculine d’une semblable situation… Pour chasser ces pensées de son esprit, Christian appela dans sa mémoire le souvenir du spectacle offert par Patricia la veille et somnola un moment sur un banc, un sourire béat accroché à ses lèvres… — x X x — Le soir venu, il se retrouva tout naturellement tôt dans sa chambre, attendant fébrilement le moment où la jeune fille entrerait dans le cabinet de toilette. Elle le fit languir un peu. Enfin, il l’entendit. Il prit aussitôt position à son poste d’observation. Patricia, debout devant le lavabo portait un long T-shirt blanc. Elle se lavait les dents. Quand elle eut fini, elle alla prendre le tabouret qui était dans un coin et le positionna en face de la fameuse porte. Elle passa le T-shirt par-dessus ses épaules et nue, elle alla fouiller dans la trousse de toilette du jeune homme pour en extraire la bombe de mousse à raser et le rasoir qui s’y trouvaient. À cette vue, Christian retint son souffle. Elle posa ses fesses sur le bord du tabouret, et écarta largement ...