Mon Beau-fils
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
... les seins. A cause de la chaleur, je n’avais pris qu’un soutien-gorge léger et très transparent sous ma robe. Le gars devait voir ma poitrine pointer sous la robe légère. - Hummm…, avec un corps comme le vôtre et une chaleur comme aujourd’hui, c’est un crime de s’occuper de passer l’aspirateur !! Il me semble qu’il y aurait des choses plus essentielles à faire… " - "Ah, oui ?, m’entendais-je répondre, et à quoi par exemple ?... " -" Une sieste, une bonne sieste… ! Ça ne vous tenterez pas ?? " -" Peut-être, oui ; mais ça dépend pourquoi ?... Et avec qui ?... " Je ne sais plus ce que le gars avait répondu, mais le mal était fait, je sentais ma fente fondre et couler dans mon string. Je suis sortie de la boutique trempée… Et là maintenant, impossible de dégager mon regard du pantalon du jeune homme assis de trois-quarts près de moi. Surtout que, fantasme ou non, j’ai l’impression que Raphaël bande tant son pantalon est gonflé, beaucoup plus me semble-t-il, qu’il y a une heure dans la voiture. Ces regards n’arrangent rien pour l’humidité de mon intimité. Je prétexte alors un passage aux toilettes avant de repartir. Plus que l’envie d’un petit pipi, c’est surtout pour me rassurer sur l’état de mon slip. En effet, celui-ci s’avère tellement mouillé que je crains un moment qu’il ne laisse passer une trace humide sur ma robe. Cela peut paraître exagéré, mais c’est déjà très limite. Aussi je trouve préférable de l’enlever de le mettre dans mon sac. (Photo 1) Par contre je n’en ai pas ...
... de rechange et le déplore. J’estime rapidement la déconvenue, mais tant pis je préfère ne rien mettre que de laisser paraître une trace sur ma robe. Le rapide coup d’œil que je jette à ma fente épilée depuis la veille ne me rassure pas : elle est gonflée de désirs rentrés. D’entre les lèvres je vois distinctement que mon petit bouton d’amour est tendu et rouge de confusion. Je résiste pourtant à la forte envie que j’aie de le branler et de me faire un plaisir furtif, pensant au trajet qui nous attend encore… Nous repartons. Raphaël est silencieux. Il ne parvient pas à dormir tant la chaleur est étouffante. Il ferme les yeux et somnole. J’en profite pour glisser des œillades sur son pantalon. Je le vois encore plus gonflé que tout à l’heure. Ce n’est pas possible ! Il doit être bien mieux monté que son père !... Le rouge me monte aux joues. Je sens que je mouille de nouveau. Très discrètement tout en conduisant, de la main gauche, j’extraie de mon sac un kleenex et je parviens, par le côté de la robe, à le glisser dans mon entrejambe pour absorber la cyprine qui, à n’en pas douter, coule doucement de ma fente ouverte… Je n’en peux plus. Ce n’est pas possible ! Je me dis que je suis une salope : à 36 ans, ne pas pouvoir davantage maîtriser ses pulsions, c’est lamentable ! Oui, c’est lamentable, mais il n’empêche, là maintenant il faudrait que je me branle un bon coup, tant j’ai envie !… Je me prends à regretter de ne pas l’avoir fait tout à l’heure dans les toilettes, je serai ...